Se connecter
Vendredi, 11 Juillet 2025 à 22:32

Je L'Aime Mais Elle Se Marie Avec Un Autre, Alors Que Faire?

Forum Ivoireland / Amour/Couple / Je L'Aime Mais Elle Se Marie Avec Un Autre, Alors Que Faire? (1223 Vues)

Elle Est Mère Célibataire Mais Je l'Aime, Que Me Conseillez-Vous De Faire? / Je n'Arrive Plus À Ressentir Des Sentiments Amoureux: Que Faire? / Qu' Êtes Vous Prêt À Faire Pour La Femme Que Vous Aimez? (2) (3) (4)

(1) Répondre (Descendre)

Justice81 Justice81 Mis à jour le 10 juin 2022 à 9:32

Nous nous sommes rencontrés en 2012 et lui faisais des avances. Elle m'a demandé de patienter pour qu'elle réfléchisse. Mais sans rien me dire ses approches me faisaient comprendre qu'elle répondait positif car en réalité elle est très timide. Un jour je l'appelle au téléphone et elle était parti loin de moi dans une autre ville dans le nord du pays alors que je suis au sud. Nous sommes restés ainsi et pendant que j'espérais la revoir pour rediriger notre union amoureuse, elle m'annonce 3 ans plus tard qu'elle doit se marier et ce à un mec de là-bas. Vraiment je suis dépassé et je ne sais que faire. Svp vos avis!

(Commenter) (Signaler) · Publié le 12 décembre 2015 à 14:42

wwwyonypro wwwyonypro Publié le 14 décembre 2015 à 11:38

esque ce la derniere fille au monde cherche un autre et continue la vie selon moi

(Commenter) (Signaler)

Justice81 Justice81 Publié le 14 décembre 2015 à 12:39

wwwyonypro:
esque ce la derniere fille au monde cherche un autre et continue la vie selon moi
Ok Merci Man

(Commenter) (Signaler)

Quatrième Image de Amour/Couple. Ok Merci Man

RomeoIvoire RomeoIvoire Mis à jour le 7 juin à 17:09

En lissant ce message, une émotion familière est apparue en moi. J’ai alors repensé à des épisodes de ma vie dans lesquels je m’étais arrêté à des gestes, des silences, des regards qui en disaient tout ou rien. L’amour a cette capacité étrange de nous faire vibrer et nous faire souffrir à la fois. On espère, on doute, parfois on s’accroche à des os qu’on interprète comme des promesses, et quand les choses deviennent grasses, on navigue à travers un labyrinthe d’attente et de supposition. Ce n’est jamais facile, mais ces moments peuvent également être l’occasion de se recentrer afin de mieux décider ce que l’on mérite.

Quand les signaux ne sont pas clairs


Ce qui rend certaines histoires douloureuses, ce n’est pas l’absence d’amour, mais le flou. Ce moment où l’on ne sait plus sur quel pied danser. Un jour, c’est tout bien tout beau, le lendemain, c’est l’inverse. On dissèque alors chaque mot, chaque geste. On espère une réponse, une explication, un geste clair… mais rien ne vient. Face à un message ambigu, notre cœur s’emballe. Nous voulons croire que tout est encore possible. Mais quand l’autre ne semble pas savoir ce qu’il veut ou joue sur mille tableaux, c’est excessivement lourd à porter. En fait, ce n’est pas un manque d’amour de notre part, c’est trop d’espoir qui finit par nous user.

Il arrive qu’en dépit de tout notre investir, rien ne change. L’autre reste sur sa position. Il ou elle reste distant, sans rompre le lien qui préserve nos illusions. Dans ces moments, il faut parfois prendre une décision pour soi. Une décision pénible, mais nécessaire. Dire stop. Pas parce qu’on n’aime plus, mais parce qu’on a besoin d’apaisement. Parce on ne peut forcer l’autre à nous choisir. Parce qu’on ne peut racoler l’autre pour qu’il nous aime clairement. Tout ce qui importe est de décider comment nous, on veut être traité.


https://www.youtube.com/watch?v=N2ZI81p8fJ4

Se retrouver après le doute


Il n’est pas rare, lorsque l’on quitte une relation d’amour confuse, de se sentir dans le vide. Bien que cette relation amoureuse ne soit pas totalement satisfaisante, elle remplissait quand même quelque chose dans notre cœur. Il faut du temps. Du silence. Des pleurs parfois. Et de la tristesse, de la fatigue, de la colère.

Mais peu à peu, c’est la lumière, la clarté, qui revient. Cette illusion que l’on croyait possession, nous la voyons maintenant pour ce qu’elle est : une illusion. Au fond, nous avons gagné quelque chose de tellement supérieur : le respect de soi. Respect de soi que nous mettons en avant lorsque nous faisons le choix de ne plus nous accrocher à quelqu’un qui ne veut ou ne peut pas nous aimer avec clarté. C’est un acte d’amour que l’on se rend alors à soi-même.

La guérison d’une blessure amoureuse nécessite du temps. Affirmer "je passe à autre chose" ne suffit pas. Le cœur est plus long à atteindre ce que la tête a cru pouvoir accepter. D’où la nécessité d’un traitement doux.

La manière de panser ses plaies est personnelle. Il y a ceux qui écrivent, d’autres qui parlent à leurs amis, d’autres qui préfèrent pleurer un moment seuls, ceux qui choisissent de se reconnecter à la nature, au sport ou à la musique. Il n’existe pas de bonne ou de mauvaise méthode, on n’a juste à écouter ce dont on a besoin, sans jugement.

Lire également : Je l'aime mais elle va se marier

Ne pas perdre foi en l’amour


Sorti d’une situation ambivalente, il est facile de devenir méfiant. On se dit qu’on ne voudra plus revivre ça. On ferme les portes, on se blinde. Pourtant, cela peut être à ses risques et périls, car on peut aussi se couper du meilleur. Les histoires ne se ressemblent pas toutes.

Les individus ne sont pas tous fuyants ou confus. Il existe bien des êtres capables d’aimer clairement, respectueusement, simplement. Mais pour cela il faut d’abord être en mesure de laisser derrière soi tout ce que le passé a pu empoisonner. Apprendre à pardonner, non pas à l’autre, mais à soi. À soi d’avoir espéré, donné, aimé. Car il n’y a rien de honteux à avoir sincèrement aimé un autre, même si cet autre ne savait pas quoi faire de cet amour-là.

Écrire ce message est aussi une façon de tourner une page. Donnant corps à une blessure, mettant des mots sur celle-ci peut paraître vain. Pourtant, nous sommes bien nombreux à avoir vécu cela. Et trop souvent nous gardons tout en nous, par crainte du jugement ou de l’incompréhension.

Pourtant, partager nos histoires, c'est déjà une façon de se libérer, d'établir des ponts entre nous, de montrer que derrière les sourires, il y a des êtres humains affaiblis qui avancent, malgré les blessures. Et ça, c'est de la force.

Lâcher prise n’est jamais simple, tant on s’accroche à ce que l’on veut croire être de l’amour. Mais parfois, ce qui ressemble à de l’amour n’est qu’une attente sans réponse. Choisir de voir clairement — même si cela nous fait mal — c’est se donner la chance de vraiment guérir. Alors aujourd’hui, si ce message résonne en toi, je te pose une question très simple, mais d’une grande profondeur : qu’est-ce que tu choisis pour ton coeur — la souffrance du doute… ou la paix de la liberté ?

(Commenter) (Signaler) · Publié le 25 mars 2024 à 23:16

Image de Amour/Couple. En lissant ce message, une émotion familière est apparue en moi. J’ai alors repensé à des épisodes de ma vie dans lesquels je m’étais arrêté à des gestes, des silences, des regards qui en disaient tout ou rien. L’amour a cette capacité étrange de nous faire vibrer et nous faire souffrir à la fois. On espère, on doute, parfois on s’accroche à des os qu’on interprète comme des promesses, et quand les choses deviennent grasses, on navigue à travers un labyrinthe d’attente et de supposition. Ce n’est jamais facile, mais ces moments peuvent également être l’occasion de se recentrer afin de mieux décider ce que l’on mérite. Quand les signaux ne sont pas clairs Ce qui rend certaines histoires douloureuses, ce n’est pas l’absence d’amour, mais le flou. Ce moment où l’on ne sait plus sur quel pied danser. Un jour, c’est tout bien tout beau, le lendemain, c’est l’inverse. On dissèque alors chaque mot, chaque geste. On espère une réponse, une explication, un geste clair… mais rien ne vient. Face à un message ambigu, notre cœur s’emballe. Nous voulons croire que tout est encore possible. Mais quand l’autre ne semble pas savoir ce qu’il veut ou joue sur mille tableaux, c’est excessivement lourd à porter. En fait, ce n’est pas un manque d’amour de notre part, c’est trop d’espoir qui finit par nous user. Il arrive qu’en dépit de tout notre investir, rien ne change. L’autre reste sur sa position. Il ou elle reste distant, sans rompre le lien qui préserve nos illusions. Dans ces moments, il faut parfois prendre une décision pour soi. Une décision pénible, mais nécessaire. Dire stop. Pas parce qu’on n’aime plus, mais parce qu’on a besoin d’apaisement. Parce on ne peut forcer l’autre à nous choisir. Parce qu’on ne peut racoler l’autre pour qu’il nous aime clairement. Tout ce qui importe est de décider comment nous, on veut être traité. Se retrouver après le doute Il n’est pas rare, lorsque l’on quitte une relation d’amour confuse, de se sentir dans le vide. Bien que cette relation amoureuse ne soit pas totalement satisfaisante, elle remplissait quand même quelque chose dans notre cœur. Il faut du temps. Du silence. Des pleurs parfois. Et de la tristesse, de la fatigue, de la colère. Mais peu à peu, c’est la lumière, la clarté, qui revient. Cette illusion que l’on croyait possession, nous la voyons maintenant pour ce qu’elle est : une illusion. Au fond, nous avons gagné quelque chose de tellement supérieur : le respect de soi. Respect de soi que nous mettons en avant lorsque nous faisons le choix de ne plus nous accrocher à quelqu’un qui ne veut ou ne peut pas nous aimer avec clarté. C’est un acte d’amour que l’on se rend alors à soi-même. La guérison d’une blessure amoureuse nécessite du temps. Affirmer "je passe à autre chose" ne suffit pas. Le cœur est plus long à atteindre ce que la tête a cru pouvoir accepter. D’où la nécessité d’un traitement doux. La manière de panser ses plaies est personnelle. Il y a ceux qui écrivent, d’autres qui parlent à leurs amis, d’autres qui préfèrent pleurer un moment seuls, ceux qui choisissent de se reconnecter à la nature, au sport ou à la musique. Il n’existe pas de bonne ou de mauvaise méthode, on n’a juste à écouter ce dont on a besoin, sans jugement. Lire également : Je l'aime mais elle va se marier Ne pas perdre foi en l’amour Sorti d’une situation ambivalente, il est facile de devenir méfiant. On se dit qu’on ne voudra plus revivre ça. On ferme les portes, on se blinde. Pourtant, cela peut être à ses risques et périls, car on peut aussi se couper du meilleur. Les histoires ne se ressemblent pas toutes. Les individus ne sont pas tous fuyants ou confus. Il existe bien des êtres capables d’aimer clairement, respectueusement, simplement. Mais pour cela il faut d’abord être en mesure de laisser derrière soi tout ce que le passé a pu empoisonner. Apprendre à pardonner, non pas à l’autre, mais à soi. À soi d’avoir espéré, donné, aimé. Car il n’y a rien de honteux à avoir sincèrement aimé un autre, même si cet autre ne savait pas quoi faire de cet amour-là. Écrire ce message est aussi une façon de tourner une page. Donnant corps à une blessure, mettant des mots sur celle-ci peut paraître vain. Pourtant, nous sommes bien nombreux à avoir vécu cela. Et trop souvent nous gardons tout en nous, par crainte du jugement ou de l’incompréhension. Pourtant, partager nos histoires, c'est déjà une façon de se libérer, d'établir des ponts entre nous, de montrer que derrière les sourires, il y a des êtres humains affaiblis qui avancent, malgré les blessures. Et ça, c'est de la force. Lâcher prise n’est jamais simple, tant on s’accroche à ce que l’on veut croire être de l’amour. Mais parfois, ce qui ressemble à de l’amour n’est qu’une attente sans réponse. Choisir de voir clairement — même si cela nous fait mal — c’est se donner la chance de vraiment guérir. Alors aujourd’hui, si ce message résonne en toi, je te pose une question très simple, mais d’une grande profondeur : qu’est-ce que tu choisis pour ton coeur — la souffrance du doute… ou la paix de la liberté ?

Deuxième Image de Amour/Couple. En lissant ce message, une émotion familière est apparue en moi. J’ai alors repensé à des épisodes de ma vie dans lesquels je m’étais arrêté à des gestes, des silences, des regards qui en disaient tout ou rien. L’amour a cette capacité étrange de nous faire vibrer et nous faire souffrir à la fois. On espère, on doute, parfois on s’accroche à des os qu’on interprète comme des promesses, et quand les choses deviennent grasses, on navigue à travers un labyrinthe d’attente et de supposition. Ce n’est jamais facile, mais ces moments peuvent également être l’occasion de se recentrer afin de mieux décider ce que l’on mérite. Quand les signaux ne sont pas clairs Ce qui rend certaines histoires douloureuses, ce n’est pas l’absence d’amour, mais le flou. Ce moment où l’on ne sait plus sur quel pied danser. Un jour, c’est tout bien tout beau, le lendemain, c’est l’inverse. On dissèque alors chaque mot, chaque geste. On espère une réponse, une explication, un geste clair… mais rien ne vient. Face à un message ambigu, notre cœur s’emballe. Nous voulons croire que tout est encore possible. Mais quand l’autre ne semble pas savoir ce qu’il veut ou joue sur mille tableaux, c’est excessivement lourd à porter. En fait, ce n’est pas un manque d’amour de notre part, c’est trop d’espoir qui finit par nous user. Il arrive qu’en dépit de tout notre investir, rien ne change. L’autre reste sur sa position. Il ou elle reste distant, sans rompre le lien qui préserve nos illusions. Dans ces moments, il faut parfois prendre une décision pour soi. Une décision pénible, mais nécessaire. Dire stop. Pas parce qu’on n’aime plus, mais parce qu’on a besoin d’apaisement. Parce on ne peut forcer l’autre à nous choisir. Parce qu’on ne peut racoler l’autre pour qu’il nous aime clairement. Tout ce qui importe est de décider comment nous, on veut être traité. Se retrouver après le doute Il n’est pas rare, lorsque l’on quitte une relation d’amour confuse, de se sentir dans le vide. Bien que cette relation amoureuse ne soit pas totalement satisfaisante, elle remplissait quand même quelque chose dans notre cœur. Il faut du temps. Du silence. Des pleurs parfois. Et de la tristesse, de la fatigue, de la colère. Mais peu à peu, c’est la lumière, la clarté, qui revient. Cette illusion que l’on croyait possession, nous la voyons maintenant pour ce qu’elle est : une illusion. Au fond, nous avons gagné quelque chose de tellement supérieur : le respect de soi. Respect de soi que nous mettons en avant lorsque nous faisons le choix de ne plus nous accrocher à quelqu’un qui ne veut ou ne peut pas nous aimer avec clarté. C’est un acte d’amour que l’on se rend alors à soi-même. La guérison d’une blessure amoureuse nécessite du temps. Affirmer "je passe à autre chose" ne suffit pas. Le cœur est plus long à atteindre ce que la tête a cru pouvoir accepter. D’où la nécessité d’un traitement doux. La manière de panser ses plaies est personnelle. Il y a ceux qui écrivent, d’autres qui parlent à leurs amis, d’autres qui préfèrent pleurer un moment seuls, ceux qui choisissent de se reconnecter à la nature, au sport ou à la musique. Il n’existe pas de bonne ou de mauvaise méthode, on n’a juste à écouter ce dont on a besoin, sans jugement. Lire également : Je l'aime mais elle va se marier Ne pas perdre foi en l’amour Sorti d’une situation ambivalente, il est facile de devenir méfiant. On se dit qu’on ne voudra plus revivre ça. On ferme les portes, on se blinde. Pourtant, cela peut être à ses risques et périls, car on peut aussi se couper du meilleur. Les histoires ne se ressemblent pas toutes. Les individus ne sont pas tous fuyants ou confus. Il existe bien des êtres capables d’aimer clairement, respectueusement, simplement. Mais pour cela il faut d’abord être en mesure de laisser derrière soi tout ce que le passé a pu empoisonner. Apprendre à pardonner, non pas à l’autre, mais à soi. À soi d’avoir espéré, donné, aimé. Car il n’y a rien de honteux à avoir sincèrement aimé un autre, même si cet autre ne savait pas quoi faire de cet amour-là. Écrire ce message est aussi une façon de tourner une page. Donnant corps à une blessure, mettant des mots sur celle-ci peut paraître vain. Pourtant, nous sommes bien nombreux à avoir vécu cela. Et trop souvent nous gardons tout en nous, par crainte du jugement ou de l’incompréhension. Pourtant, partager nos histoires, c'est déjà une façon de se libérer, d'établir des ponts entre nous, de montrer que derrière les sourires, il y a des êtres humains affaiblis qui avancent, malgré les blessures. Et ça, c'est de la force. Lâcher prise n’est jamais simple, tant on s’accroche à ce que l’on veut croire être de l’amour. Mais parfois, ce qui ressemble à de l’amour n’est qu’une attente sans réponse. Choisir de voir clairement — même si cela nous fait mal — c’est se donner la chance de vraiment guérir. Alors aujourd’hui, si ce message résonne en toi, je te pose une question très simple, mais d’une grande profondeur : qu’est-ce que tu choisis pour ton coeur — la souffrance du doute… ou la paix de la liberté ?

Troisième Image de Amour/Couple. En lissant ce message, une émotion familière est apparue en moi. J’ai alors repensé à des épisodes de ma vie dans lesquels je m’étais arrêté à des gestes, des silences, des regards qui en disaient tout ou rien. L’amour a cette capacité étrange de nous faire vibrer et nous faire souffrir à la fois. On espère, on doute, parfois on s’accroche à des os qu’on interprète comme des promesses, et quand les choses deviennent grasses, on navigue à travers un labyrinthe d’attente et de supposition. Ce n’est jamais facile, mais ces moments peuvent également être l’occasion de se recentrer afin de mieux décider ce que l’on mérite. Quand les signaux ne sont pas clairs Ce qui rend certaines histoires douloureuses, ce n’est pas l’absence d’amour, mais le flou. Ce moment où l’on ne sait plus sur quel pied danser. Un jour, c’est tout bien tout beau, le lendemain, c’est l’inverse. On dissèque alors chaque mot, chaque geste. On espère une réponse, une explication, un geste clair… mais rien ne vient. Face à un message ambigu, notre cœur s’emballe. Nous voulons croire que tout est encore possible. Mais quand l’autre ne semble pas savoir ce qu’il veut ou joue sur mille tableaux, c’est excessivement lourd à porter. En fait, ce n’est pas un manque d’amour de notre part, c’est trop d’espoir qui finit par nous user. Il arrive qu’en dépit de tout notre investir, rien ne change. L’autre reste sur sa position. Il ou elle reste distant, sans rompre le lien qui préserve nos illusions. Dans ces moments, il faut parfois prendre une décision pour soi. Une décision pénible, mais nécessaire. Dire stop. Pas parce qu’on n’aime plus, mais parce qu’on a besoin d’apaisement. Parce on ne peut forcer l’autre à nous choisir. Parce qu’on ne peut racoler l’autre pour qu’il nous aime clairement. Tout ce qui importe est de décider comment nous, on veut être traité. Se retrouver après le doute Il n’est pas rare, lorsque l’on quitte une relation d’amour confuse, de se sentir dans le vide. Bien que cette relation amoureuse ne soit pas totalement satisfaisante, elle remplissait quand même quelque chose dans notre cœur. Il faut du temps. Du silence. Des pleurs parfois. Et de la tristesse, de la fatigue, de la colère. Mais peu à peu, c’est la lumière, la clarté, qui revient. Cette illusion que l’on croyait possession, nous la voyons maintenant pour ce qu’elle est : une illusion. Au fond, nous avons gagné quelque chose de tellement supérieur : le respect de soi. Respect de soi que nous mettons en avant lorsque nous faisons le choix de ne plus nous accrocher à quelqu’un qui ne veut ou ne peut pas nous aimer avec clarté. C’est un acte d’amour que l’on se rend alors à soi-même. La guérison d’une blessure amoureuse nécessite du temps. Affirmer "je passe à autre chose" ne suffit pas. Le cœur est plus long à atteindre ce que la tête a cru pouvoir accepter. D’où la nécessité d’un traitement doux. La manière de panser ses plaies est personnelle. Il y a ceux qui écrivent, d’autres qui parlent à leurs amis, d’autres qui préfèrent pleurer un moment seuls, ceux qui choisissent de se reconnecter à la nature, au sport ou à la musique. Il n’existe pas de bonne ou de mauvaise méthode, on n’a juste à écouter ce dont on a besoin, sans jugement. Lire également : Je l'aime mais elle va se marier Ne pas perdre foi en l’amour Sorti d’une situation ambivalente, il est facile de devenir méfiant. On se dit qu’on ne voudra plus revivre ça. On ferme les portes, on se blinde. Pourtant, cela peut être à ses risques et périls, car on peut aussi se couper du meilleur. Les histoires ne se ressemblent pas toutes. Les individus ne sont pas tous fuyants ou confus. Il existe bien des êtres capables d’aimer clairement, respectueusement, simplement. Mais pour cela il faut d’abord être en mesure de laisser derrière soi tout ce que le passé a pu empoisonner. Apprendre à pardonner, non pas à l’autre, mais à soi. À soi d’avoir espéré, donné, aimé. Car il n’y a rien de honteux à avoir sincèrement aimé un autre, même si cet autre ne savait pas quoi faire de cet amour-là. Écrire ce message est aussi une façon de tourner une page. Donnant corps à une blessure, mettant des mots sur celle-ci peut paraître vain. Pourtant, nous sommes bien nombreux à avoir vécu cela. Et trop souvent nous gardons tout en nous, par crainte du jugement ou de l’incompréhension. Pourtant, partager nos histoires, c'est déjà une façon de se libérer, d'établir des ponts entre nous, de montrer que derrière les sourires, il y a des êtres humains affaiblis qui avancent, malgré les blessures. Et ça, c'est de la force. Lâcher prise n’est jamais simple, tant on s’accroche à ce que l’on veut croire être de l’amour. Mais parfois, ce qui ressemble à de l’amour n’est qu’une attente sans réponse. Choisir de voir clairement — même si cela nous fait mal — c’est se donner la chance de vraiment guérir. Alors aujourd’hui, si ce message résonne en toi, je te pose une question très simple, mais d’une grande profondeur : qu’est-ce que tu choisis pour ton coeur — la souffrance du doute… ou la paix de la liberté ?

Quatrième Image de Amour/Couple. En lissant ce message, une émotion familière est apparue en moi. J’ai alors repensé à des épisodes de ma vie dans lesquels je m’étais arrêté à des gestes, des silences, des regards qui en disaient tout ou rien. L’amour a cette capacité étrange de nous faire vibrer et nous faire souffrir à la fois. On espère, on doute, parfois on s’accroche à des os qu’on interprète comme des promesses, et quand les choses deviennent grasses, on navigue à travers un labyrinthe d’attente et de supposition. Ce n’est jamais facile, mais ces moments peuvent également être l’occasion de se recentrer afin de mieux décider ce que l’on mérite. Quand les signaux ne sont pas clairs Ce qui rend certaines histoires douloureuses, ce n’est pas l’absence d’amour, mais le flou. Ce moment où l’on ne sait plus sur quel pied danser. Un jour, c’est tout bien tout beau, le lendemain, c’est l’inverse. On dissèque alors chaque mot, chaque geste. On espère une réponse, une explication, un geste clair… mais rien ne vient. Face à un message ambigu, notre cœur s’emballe. Nous voulons croire que tout est encore possible. Mais quand l’autre ne semble pas savoir ce qu’il veut ou joue sur mille tableaux, c’est excessivement lourd à porter. En fait, ce n’est pas un manque d’amour de notre part, c’est trop d’espoir qui finit par nous user. Il arrive qu’en dépit de tout notre investir, rien ne change. L’autre reste sur sa position. Il ou elle reste distant, sans rompre le lien qui préserve nos illusions. Dans ces moments, il faut parfois prendre une décision pour soi. Une décision pénible, mais nécessaire. Dire stop. Pas parce qu’on n’aime plus, mais parce qu’on a besoin d’apaisement. Parce on ne peut forcer l’autre à nous choisir. Parce qu’on ne peut racoler l’autre pour qu’il nous aime clairement. Tout ce qui importe est de décider comment nous, on veut être traité. Se retrouver après le doute Il n’est pas rare, lorsque l’on quitte une relation d’amour confuse, de se sentir dans le vide. Bien que cette relation amoureuse ne soit pas totalement satisfaisante, elle remplissait quand même quelque chose dans notre cœur. Il faut du temps. Du silence. Des pleurs parfois. Et de la tristesse, de la fatigue, de la colère. Mais peu à peu, c’est la lumière, la clarté, qui revient. Cette illusion que l’on croyait possession, nous la voyons maintenant pour ce qu’elle est : une illusion. Au fond, nous avons gagné quelque chose de tellement supérieur : le respect de soi. Respect de soi que nous mettons en avant lorsque nous faisons le choix de ne plus nous accrocher à quelqu’un qui ne veut ou ne peut pas nous aimer avec clarté. C’est un acte d’amour que l’on se rend alors à soi-même. La guérison d’une blessure amoureuse nécessite du temps. Affirmer "je passe à autre chose" ne suffit pas. Le cœur est plus long à atteindre ce que la tête a cru pouvoir accepter. D’où la nécessité d’un traitement doux. La manière de panser ses plaies est personnelle. Il y a ceux qui écrivent, d’autres qui parlent à leurs amis, d’autres qui préfèrent pleurer un moment seuls, ceux qui choisissent de se reconnecter à la nature, au sport ou à la musique. Il n’existe pas de bonne ou de mauvaise méthode, on n’a juste à écouter ce dont on a besoin, sans jugement. Lire également : Je l'aime mais elle va se marier Ne pas perdre foi en l’amour Sorti d’une situation ambivalente, il est facile de devenir méfiant. On se dit qu’on ne voudra plus revivre ça. On ferme les portes, on se blinde. Pourtant, cela peut être à ses risques et périls, car on peut aussi se couper du meilleur. Les histoires ne se ressemblent pas toutes. Les individus ne sont pas tous fuyants ou confus. Il existe bien des êtres capables d’aimer clairement, respectueusement, simplement. Mais pour cela il faut d’abord être en mesure de laisser derrière soi tout ce que le passé a pu empoisonner. Apprendre à pardonner, non pas à l’autre, mais à soi. À soi d’avoir espéré, donné, aimé. Car il n’y a rien de honteux à avoir sincèrement aimé un autre, même si cet autre ne savait pas quoi faire de cet amour-là. Écrire ce message est aussi une façon de tourner une page. Donnant corps à une blessure, mettant des mots sur celle-ci peut paraître vain. Pourtant, nous sommes bien nombreux à avoir vécu cela. Et trop souvent nous gardons tout en nous, par crainte du jugement ou de l’incompréhension. Pourtant, partager nos histoires, c'est déjà une façon de se libérer, d'établir des ponts entre nous, de montrer que derrière les sourires, il y a des êtres humains affaiblis qui avancent, malgré les blessures. Et ça, c'est de la force. Lâcher prise n’est jamais simple, tant on s’accroche à ce que l’on veut croire être de l’amour. Mais parfois, ce qui ressemble à de l’amour n’est qu’une attente sans réponse. Choisir de voir clairement — même si cela nous fait mal — c’est se donner la chance de vraiment guérir. Alors aujourd’hui, si ce message résonne en toi, je te pose une question très simple, mais d’une grande profondeur : qu’est-ce que tu choisis pour ton coeur — la souffrance du doute… ou la paix de la liberté ?

(1) Répondre

Mon Amant m'a Quitté Et Personne À Qui Me Confier: Que Faire? / Mon Copain Veut Nous Filmer Pendant L'Amour, Que Faire? / Je L'aime Depuis Des Années Mais Il Est Marié

(Remonter)

Ivoireland - Copyright © 2012 - 2025 Tous droits réservés.
Avertissement: Chaque membre est responsable de tout ce qu'il/elle poste ou télécharge sur Ivoireland.