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Lundi, 2 Juin 2025 à 23:01 |
Forum Ivoireland / Amour/Couple / Je Suis Victime De Violences Conjugales, Envie De Divorcer (2375 Vues)
Victime D’escroquerie En Amour, J’ai Besoin D’aide / Je N'Arrive Plus Et N'Ai Plus Envie D'Aimer Après Une Déception / Infidélité: l’Homme Est-Il Vraiment Plus Infidèle Que La Femme? (2) (3) (4)
Bonsoir les amis, je vis actuellement une situation et je sollicite votre aide. Je me nomme Elisa, 27 ans et je suis marié à un homme depuis plus de 1 an. Au début tout allait bien, mais voilà que mon homme est passé d’ange à démon. Eh, oui il ne fait que me battre. Je ne sais vraiment pas ce qui ne va pas avec lui. A chaque qu’on a un différend, il ne fait que me battre. Je n’en peux plus. Je veux partir mais mon problème c’est qu’on a un enfant d’à peine 5 mois. Je souffre vraiment. S’il vous plait, j’ai besoin de conseils.
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courage d abord ma chere..
patience,patience.tout fini par se savoir.des que l enfant aura 1 an quitte le pour rejoindre tes parents sinon ce lache risque de te prendre ta vie. evite de discuter avec lui pour engendrer des differents.reste zen dans ton.coin. courage
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BONJOUR SI TU AIME VRAIMENT TON MARI NE LE QUITTE PAS JE PEUX TAIDER DE FA9ON EFFICACE TU SERAS SA REINE PRÉFÉRÉE JE NE SUIS NI MARABOUT NI CHARLATANT MAIS SI TU VEUX VRAIMENT GARDER TON MARI ALORS TU SERAS PLUS IMPORTANTE DEVANT TON MARI QUE L'OR ET LE DIAMANT JE PEUX LE FAIRE POUR TOI ET SAI GRATUIT POUR TOI CAR JAI VU TA SOUFFRANCE PAS DE PUBLCITE STP SI TU SOUFFRE ET QUE TU VEUX RESTER IL NE TE BATTRA PLUS NE TE MALTRAITERA PLUS ET CELA POUR TOUTE LA VIE TU PEUX ME FAIRE CONFIANCE SAI JESUS QUI NOUS AIDE TOUS MON NUMERO 03 65 43 46 APPELLE MOI VITE
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Du courage et surtout écoute ton coeur.
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courage c'est pour le meilleur et le pire
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celles qui marié veulent divorcé et celles qui ne sont pas veulent se marié ça ne laisse personne au monde
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gade patience pour être vainqueur
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Elisa est âgée de 27 ans. Sa vie, un véritable tourbillon de peur et d’angoisse, lui semblait jusqu’alors une promesse de stabilité, elle qui était mariée depuis quelques années, et croyait avoir acquis la sécurité affective et la chaleur d’un foyer. Ce rêve est devenu l’exact inverse. Là où elle pensait construire un cocon, s’est révélé un piège. Les disputes à répétition ont laissé place à des gestes inappropriés, pour devenir ensuite des coups. Aujourd’hui, Elisa vit sous la menace de son mari, seule avec sa terreur quotidienne.
Des violences conjugales bien plus fréquentes qu’on ne le penseCe que subit Elisa n’est malheureusement pas un cas isolé. Les violences conjugales se retrouvent dans le monde entier, détruisant des vies, des familles, des rêves. Des femmes, des hommes, des jeunes ou des vieux, aucun groupe social n’est épargné. Beaucoup de ceux qui sourient en société enferment des souffrances invisibles, des blessures intérieures plus profondes que celles du corps. Trop souvent, la honte et la peur font taire les victimes qui se réfugient dans le silence et la souffrance, redoutant le jugement ou des représailles. Elles attendent un changement qui ne viendra sans doute jamais, ou pire, se convainquent que c’est “de leur faute”. Les mécanismes d’emprise sont forts. La victime se retrouve piégée dans un cercle duquel elle ne peut sortir sans aide. Elisa ne sait plus comment faire. Il semblerait normal de fuir son mari. Mais fuir, ce n’est pas seulement claquer la porte. Partir, c’est affronter mille incertitudes : où aller ? Comment vivre avec son enfant ? Sera-t-elle en sécurité ailleurs ? Autant de réponses à trouver, autant de raisons pour rester, malgré les coups, malgré la peur. Et pourtant chaque jour passé dans cette maison est une mise en danger. Pour elle. Pour son enfant. Vivre sous un climat de violence a des effets ravageurs, même sur les tout petits. Les enfants qui assistent à ces scènes souffrent de troubles émotionnels, perdent leur légèreté d’être, grandissent avec la normalité de l’idée que la violence est la norme. Ils en deviennent parfois victimes, ou, tour à tour, chez eux, les acteurs. Quand la société se tait, les coups résonnent plus fortElisa, comme tant d’autres victimes, est observée, devinée par des proches, qui n’osent pas intervenir. Par peur d’interférer dans ce qui « ne les regarde pas », beaucoup préfèrent détourner les yeux. Mais il suffit parfois de briser le silence pour changer le cours des choses. Une main tendue, un mot écouté, une prise de contact avec une structure d’aide peuvent sauver une vie. Les associations spécialisées existent pour cela. Pour écouter, soutenir, accompagner. Elles connaissent les lieux, les démarches à accomplir, les dispositifs d’urgence. Grâce à elles, des gens font le choix de reconstruire, sortent de l’ombre. À la lecture du témoignage d’Elisa, c’est un cri de désespoir et d’alerte que l’on entend. Elle nous appelle à ne pas détourner les yeux. À ne pas minimiser la souffrance. À ne pas attendre qu’il soit trop tard. La violence conjugale tue. Des centaines de femmes décèdent chaque année sous les coups de leur conjoint. D’autres, sombrent dans la dépression, n’ont plus d’estime d’elles, se replient sur elles-mêmes. En perspective de cette action d’alerte, chacun à son échelle peut le faire. Par la parole. Par l’écoute. Par l’information. Les réseaux sociaux ont un rôle immense : relayer les contacts d’associations, partager des témoignages, dénoncer les discours ou comportements toxiques. Il ne s’agit pas de juger, il s’agit de comprendre. Aider, soutenir une victime est d’abord l’accueillir sans lui imputer de responsabilité. C’est que cette victime reprenne confiance, mais est-ce suffisant ? Lui redonner sa place, la conviction qu’elle a de la valeur, qu’elle peut avoir une vie différente. Et après la violence, que reste-t-il ?Il est nécessaire de s’accorder sur le fait que la reconstruction est une voie longue. La séparation d’avec un(e) conjoint(e) violent(e) ne fait pas tout. Il faut réapprendre à vivre. Se reconstruire, retrouver confiance,, soigner les blessures intimes. Mais ce chemin de reconstruction existe. Et il est beaucoup plus aisé de l’emprunter lorsqu’un ou plusieurs réseaux de soutien vous aident. Des dispositifs de suivi psychologique, des groupes de paroles, des aides financières existent pour favoriser cette renaissance. L’essentiel est de poser un premier pas. Oser parler. Oser demander de l’aide. Oser envisager un futur sans coups. Au moment où s’écrit cette lettre, Elisa, peut-être que vous en êtes là. Si vous lisez ces lignes, sachez qu’elles sont lues par de nombreux, nombreux amis. Que votre combat est légitimé. Que vous méritez la paix. Et que parce que des gens sont dehors disposés à vous aider, à vous écouter, à vous accompagner. Il faut également redoubler l’éducation, la pensée. Apprendre la notion de respect, déconstruire les stéréotypes qui valorisent la domination, promouvoir l’égalité éducationnelle dès le plus jeune âge. Les enfants sont trop souvent élevés dans des configurations relationnelles violentes qu’ils reproduisent en croyant qu’elles sont normales. La communauté des êtres humains doit arrêter systématiquement la minimisation des faits violents au motif qu’ils ont eu lieu dans le lien privé. La violence domestique ne peut pas être banalisée, elle ne relève pas simplement de l’affaire de couple mais constitue au contraire une atteinte à la dignité humaine et une souffrance sociale qui nous concerne tous. Nous ne devons pas attendre que nous soyons concernés personnellement pour réagir contre ce phénomène. Le silence nourrit l’impunité mais les mots libèrent et protègent. Que serait notre monde si tout le monde après-demain décidait de ne plus tolérer aucune forme de violence dans leurs relations amoureuses ?
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