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Mercredi, 9 Juillet 2025 à 21:26

Je Ne Supporte Pas Les Absences De Mon Mari

Forum Ivoireland / Amour/Couple / Je Ne Supporte Pas Les Absences De Mon Mari (1514 Vues)

J'ai Quitté Mon Mari Car Je N'ai Plus De Sentiments Mais Il Ne L’accepte Pas / Aidez-moi! Cette Prophétie Ne Me Laissera Pas M'installer / S'il Vous Plaît, Aidez-moi, Je N'ai Pas Bien Dormi, Mon Esprit N'est Pas Tranquille (2) (3) (4)

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Naomi Naomi Mis à jour le 10 juin 2022 à 10:08

Mon homme est un homme d’affaire. Il faut dire que je ne manque vraiment de rien. Mon homme veille au besoin de nos enfants et de moi. Amis mon problème c’est qu’il est trop absence. Toujours partir en voyage d’affaire, je me retrouve environ 320 jours/365 toute seule avec les enfants. Il n’est jamais là et ne fait jamais plus de 3 jours à la maison. Je me demande parfois s’il n’aurait pas une autre famille. Vraiment, je n’en peux plus. Lorsque j’essaie d’en discuter avec lui, c’est toujours la fameuse phrase « tu a des servantes, un chauffeur… tu as tous, qu’est- ce que tu veux encore, tu sais que je dois travailler, c’est grâce à cela que je t’offre tous ce que tu as ». Bref, je ne sais plus que faire. Conseils SVP.

(Commenter) (Signaler) · Publié le 21 décembre 2015 à 1:36

Image de Amour/Couple. Mon homme est un homme d’affaire. Il faut dire que je ne manque vraiment de rien. Mon homme veille au besoin de nos enfants et de moi. Amis mon problème c’est qu’il est trop absence. Toujours partir en voyage d’affaire, je me retrouve environ 320 jours/365 toute seule avec les enfants. Il n’est jamais là et ne fait jamais plus de 3 jours à la maison. Je me demande parfois s’il n’aurait pas une autre famille. Vraiment, je n’en peux plus. Lorsque j’essaie d’en discuter avec lui, c’est toujours la fameuse phrase « tu a des servantes, un chauffeur… tu as tous, qu’est- ce que tu veux encore, tu sais que je dois travailler, c’est grâce à cela que je t’offre tous ce que tu as ». Bref, je ne sais plus que faire. Conseils SVP.

Jorbha Jorbha Publié le 21 décembre 2015 à 4:54

moi , je prendrai tout mon temps pour m'occuper de toi, contact moi

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EDOUARDINHO EDOUARDINHO Publié le 21 décembre 2015 à 17:41

Jorbha:
moi , je prendrai tout mon temps pour m'occuper de toi, contact moi
Il faut bien verfie si reelementil travaille ,si oui patiente cest pour votre bonheur .

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Gradur Gradur Publié le 27 décembre 2015 à 16:01

c pour votre bien qu il taf.alors patienve tout fini par s arranger.

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UtilisateurDon42 UtilisateurDon42 Publié le 7 janvier 2016 à 22:50

malheureuse moi je ne peux faire un jour loin de ma cherie meme si on est pauvre a quel niveau.le plus important est de rester avec elle.

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RomeoIvoire RomeoIvoire Mis à jour le 29 mai à 21:10

Vivre avec un conjoint qui s’absente souvent, c’est vivre au quotidien à travers un vide. Ce vide ne se mesure pas seulement en kilomètres, en heures, mais s’exprime aussi par des silences, par des frustrations, par des partages solitaires. Quand celui ou celle que l’on aime est souvent à distance – pour le travail, des obligations de toutes sortes – celle/celui qui est resté au domicile peut se sentir délaissé(e), incompris(e). Ce n’est pas seulement une question de présence physique. C’est une question d’équilibre affectif, de relation à maintenir, malgré l’éloignement.

Dire ce que l’on ressent, sans détour


En ces instants, la nécessité de parler s’impose. Pas pour faire des reproches, mais pour être entendu. Trouver le moment opportun, celui où les esprits sont calmés. Ensuite, poser des mots sur le manque. Dire la fatigue d’être seule pour des situations. Dire que l’absence peut parfois être vécue comme un abandon. L’écoute va ensuite. Écouter ce que l’autre vit, lui-aussi. Peut-être qu’il ne prend pas conscience de l’impact de ses absences. Peut-être qu’il pense faire son possible. Parfois, la distance pèse aussi sur celui qui part. Une conversation franche permet souvent de désamorcer des tensions qui ne se voient pas.

Parler ne va pas régler tous les problèmes mais cela évite de laisser le malaise s’installer. Le silence devenu habituel fige les émotions dans rancune. Un certain nombre d’accords sont nécessaires dès qu’il y a vie à deux. Dans les cas où l’un des deux s’absente souvent, on doit pouvoir régulièrement les réviser. On n’est pas là pour tout contrôler mais pour trouver un équilibre d’où ces questions : combien de jours d’absence est-on en mesure d’accepter ? À quel moment faut-il réexaminer les priorités ? Parce que ce sont des questions à poser ensemble.

On peut quand même produire un rythme de vie plus vivant. Cela exige de la bonne volonté et de la souplesse. Compromis n’est pas un mot en soi défaitiste. C’est intégrer les besoins de chacun à la prise en considération de l’autre sans donc annihiler l’un ou l’autre.

Le sentiment d’abandon naît souvent de ce décalage entre attentes et réalité. Comment en apprenant à rediscuter, à éclaircir les règles de la vie commune, réduire ce décalage ou viendra l’apaiser si ce n’est par une point, un moment de renoncement qui n’épuise pas ou n’efface l’autre. Ce n’est pas pour autant une réponse immédiate, c’est juste un début.

Donner du sens aux moments partagés


Les absences ne doivent pas faire disparaitre la qualité des moments partagés. Bien qu’exceptionnels, ils peuvent être intenses. Un geste quotidien, même modeste, peut être un gage de complicité. Un appel chaque soir à heure réglée. Un week-end par mois à deux. Une carte postale de temps à autre. Un projet à envisager ensemble.

Développer des rituels, c’est reconnaître que le lien existe malgré la distance. C’est donner une dimension affective à des références temporelles, des signes que l’autre est toujours là, même loin. Les enfants, s’il y en a, s’y raccrochent aussi. Pas question cependant d’en rajouter ni d’être contraints. C’est simplement l’idée d’instaurer des temps qui rappellent qu’on est toujours dans le même bateau.

Assumer seule le quotidien peut vite être pesant. Fatigue physique, solitude affective, engagement mental… Le sentiment d’isolement est lourd. Dans ces moments, se tourner vers d’autres pourrait alléger le fardeau.
Sont disponibles des amis proches, des membres de la famille, des voisins, ou même un groupe de soutien qui peuvent vous écouter, vous conseiller, vous soutenir par leur présence. Il ne s’agit pas de se lamenter, mais de s’ouvrir à d’autres, de rompre le cercle du silence.

Parfois, la simple démarche de s’adresser à une personne extérieure aide à prendre du recul, et allège le couple de tout le poids de la situation.

Lire également : Comment faire quand on ne peut plus supporter son conjoint ?

Se retrouver avec soi-même


L’absence de l’autre pourrait être aussi un moment pour se retrouver soi-même. Reprendre les activités remisées dans un coin. Lire, écrire, cuisiner, faire du sport, militer pour une cause, sortir, rire avec d’autres. Être seul ne signifie pas forcément être sans. Prendre soin de soi, c’est se rappeler qu’on existe au-delà du lien. Qu’on peut être femme, amie, mère, professionnelle, sans toujours attendre l’autre. Cette autonomie affective ne supprime pas l’amour, elle le libère.

Cela ne veut pas dire tout gérer soi-même, tout prendre pour soi. Mais retrouver un peu d’énergie personnelle permet de mieux vivre l’attente. Parfois, de poser les bonnes limites. Il arrive que la souffrance soit trop forte. Que la parole se bloque. Que la solitude commence à peser. Dans ces cas, voir un professionnel peut permettre d’éclairer une voie.

Un conseiller conjugal, un thérapeute, peuvent offrir un espace neutre pour dire ce qui coince. Pour aussi fonder une demande. Parfois, on s’aperçoit que la question ne se limite pas à celle des absences. Mais de reconnaissance, de place, d’écoute. Demander un coup de main ne veut pas dire être démuni. C’est un choix courageux. Pour soi, pour ses proches, pour l’avenir.

Aimer un absent, c’est vivre une relation à possibilité. Chaque jour, les gestes du quotidien doivent être réinventés. Le lien doit être fait vivre, quelques fois à distance, quelques fois dans l’attente. Ce chemin est fait de hauts et de bas. Pas de modèles parfaits pour construire, mais une histoire à trouver, des repères ajustés, des façons de fonctionner en duo. Ce qui compte, c’est que chacun y trouve le respect, l’écoute, le soutien.

Il ne s’agit pas de préserver son couple dans le sursaut, mais d’y travailler ensemble, jour après jour, malgré la distance, malgré les horaires. Donc dans cette réalité où l’absence est plus souvent présente que l’autre, il est une question à poser : comment faire que la distance n’efface jamais le lien ?

(Commenter) (Signaler) · Publié le 9 mars 2024 à 7:11

Image de Amour/Couple. Vivre avec un conjoint qui s’absente souvent, c’est vivre au quotidien à travers un vide. Ce vide ne se mesure pas seulement en kilomètres, en heures, mais s’exprime aussi par des silences, par des frustrations, par des partages solitaires. Quand celui ou celle que l’on aime est souvent à distance – pour le travail, des obligations de toutes sortes – celle/celui qui est resté au domicile peut se sentir délaissé(e), incompris(e). Ce n’est pas seulement une question de présence physique. C’est une question d’équilibre affectif, de relation à maintenir, malgré l’éloignement. Dire ce que l’on ressent, sans détour En ces instants, la nécessité de parler s’impose. Pas pour faire des reproches, mais pour être entendu. Trouver le moment opportun, celui où les esprits sont calmés. Ensuite, poser des mots sur le manque. Dire la fatigue d’être seule pour des situations. Dire que l’absence peut parfois être vécue comme un abandon. L’écoute va ensuite. Écouter ce que l’autre vit, lui-aussi. Peut-être qu’il ne prend pas conscience de l’impact de ses absences. Peut-être qu’il pense faire son possible. Parfois, la distance pèse aussi sur celui qui part. Une conversation franche permet souvent de désamorcer des tensions qui ne se voient pas. Parler ne va pas régler tous les problèmes mais cela évite de laisser le malaise s’installer. Le silence devenu habituel fige les émotions dans rancune. Un certain nombre d’accords sont nécessaires dès qu’il y a vie à deux. Dans les cas où l’un des deux s’absente souvent, on doit pouvoir régulièrement les réviser. On n’est pas là pour tout contrôler mais pour trouver un équilibre d’où ces questions : combien de jours d’absence est-on en mesure d’accepter ? À quel moment faut-il réexaminer les priorités ? Parce que ce sont des questions à poser ensemble. On peut quand même produire un rythme de vie plus vivant. Cela exige de la bonne volonté et de la souplesse. Compromis n’est pas un mot en soi défaitiste. C’est intégrer les besoins de chacun à la prise en considération de l’autre sans donc annihiler l’un ou l’autre. Le sentiment d’abandon naît souvent de ce décalage entre attentes et réalité. Comment en apprenant à rediscuter, à éclaircir les règles de la vie commune, réduire ce décalage ou viendra l’apaiser si ce n’est par une point, un moment de renoncement qui n’épuise pas ou n’efface l’autre. Ce n’est pas pour autant une réponse immédiate, c’est juste un début. Donner du sens aux moments partagés Les absences ne doivent pas faire disparaitre la qualité des moments partagés. Bien qu’exceptionnels, ils peuvent être intenses. Un geste quotidien, même modeste, peut être un gage de complicité. Un appel chaque soir à heure réglée. Un week-end par mois à deux. Une carte postale de temps à autre. Un projet à envisager ensemble. Développer des rituels, c’est reconnaître que le lien existe malgré la distance. C’est donner une dimension affective à des références temporelles, des signes que l’autre est toujours là, même loin. Les enfants, s’il y en a, s’y raccrochent aussi. Pas question cependant d’en rajouter ni d’être contraints. C’est simplement l’idée d’instaurer des temps qui rappellent qu’on est toujours dans le même bateau. Assumer seule le quotidien peut vite être pesant. Fatigue physique, solitude affective, engagement mental… Le sentiment d’isolement est lourd. Dans ces moments, se tourner vers d’autres pourrait alléger le fardeau. Sont disponibles des amis proches, des membres de la famille, des voisins, ou même un groupe de soutien qui peuvent vous écouter, vous conseiller, vous soutenir par leur présence. Il ne s’agit pas de se lamenter, mais de s’ouvrir à d’autres, de rompre le cercle du silence. Parfois, la simple démarche de s’adresser à une personne extérieure aide à prendre du recul, et allège le couple de tout le poids de la situation. Lire également : Comment faire quand on ne peut plus supporter son conjoint ? Se retrouver avec soi-même L’absence de l’autre pourrait être aussi un moment pour se retrouver soi-même. Reprendre les activités remisées dans un coin. Lire, écrire, cuisiner, faire du sport, militer pour une cause, sortir, rire avec d’autres. Être seul ne signifie pas forcément être sans. Prendre soin de soi, c’est se rappeler qu’on existe au-delà du lien. Qu’on peut être femme, amie, mère, professionnelle, sans toujours attendre l’autre. Cette autonomie affective ne supprime pas l’amour, elle le libère. Cela ne veut pas dire tout gérer soi-même, tout prendre pour soi. Mais retrouver un peu d’énergie personnelle permet de mieux vivre l’attente. Parfois, de poser les bonnes limites. Il arrive que la souffrance soit trop forte. Que la parole se bloque. Que la solitude commence à peser. Dans ces cas, voir un professionnel peut permettre d’éclairer une voie. Un conseiller conjugal, un thérapeute, peuvent offrir un espace neutre pour dire ce qui coince. Pour aussi fonder une demande. Parfois, on s’aperçoit que la question ne se limite pas à celle des absences. Mais de reconnaissance, de place, d’écoute. Demander un coup de main ne veut pas dire être démuni. C’est un choix courageux. Pour soi, pour ses proches, pour l’avenir. Aimer un absent, c’est vivre une relation à possibilité. Chaque jour, les gestes du quotidien doivent être réinventés. Le lien doit être fait vivre, quelques fois à distance, quelques fois dans l’attente. Ce chemin est fait de hauts et de bas. Pas de modèles parfaits pour construire, mais une histoire à trouver, des repères ajustés, des façons de fonctionner en duo. Ce qui compte, c’est que chacun y trouve le respect, l’écoute, le soutien. Il ne s’agit pas de préserver son couple dans le sursaut, mais d’y travailler ensemble, jour après jour, malgré la distance, malgré les horaires. Donc dans cette réalité où l’absence est plus souvent présente que l’autre, il est une question à poser : comment faire que la distance n’efface jamais le lien ?

Deuxième Image de Amour/Couple. Vivre avec un conjoint qui s’absente souvent, c’est vivre au quotidien à travers un vide. Ce vide ne se mesure pas seulement en kilomètres, en heures, mais s’exprime aussi par des silences, par des frustrations, par des partages solitaires. Quand celui ou celle que l’on aime est souvent à distance – pour le travail, des obligations de toutes sortes – celle/celui qui est resté au domicile peut se sentir délaissé(e), incompris(e). Ce n’est pas seulement une question de présence physique. C’est une question d’équilibre affectif, de relation à maintenir, malgré l’éloignement. Dire ce que l’on ressent, sans détour En ces instants, la nécessité de parler s’impose. Pas pour faire des reproches, mais pour être entendu. Trouver le moment opportun, celui où les esprits sont calmés. Ensuite, poser des mots sur le manque. Dire la fatigue d’être seule pour des situations. Dire que l’absence peut parfois être vécue comme un abandon. L’écoute va ensuite. Écouter ce que l’autre vit, lui-aussi. Peut-être qu’il ne prend pas conscience de l’impact de ses absences. Peut-être qu’il pense faire son possible. Parfois, la distance pèse aussi sur celui qui part. Une conversation franche permet souvent de désamorcer des tensions qui ne se voient pas. Parler ne va pas régler tous les problèmes mais cela évite de laisser le malaise s’installer. Le silence devenu habituel fige les émotions dans rancune. Un certain nombre d’accords sont nécessaires dès qu’il y a vie à deux. Dans les cas où l’un des deux s’absente souvent, on doit pouvoir régulièrement les réviser. On n’est pas là pour tout contrôler mais pour trouver un équilibre d’où ces questions : combien de jours d’absence est-on en mesure d’accepter ? À quel moment faut-il réexaminer les priorités ? Parce que ce sont des questions à poser ensemble. On peut quand même produire un rythme de vie plus vivant. Cela exige de la bonne volonté et de la souplesse. Compromis n’est pas un mot en soi défaitiste. C’est intégrer les besoins de chacun à la prise en considération de l’autre sans donc annihiler l’un ou l’autre. Le sentiment d’abandon naît souvent de ce décalage entre attentes et réalité. Comment en apprenant à rediscuter, à éclaircir les règles de la vie commune, réduire ce décalage ou viendra l’apaiser si ce n’est par une point, un moment de renoncement qui n’épuise pas ou n’efface l’autre. Ce n’est pas pour autant une réponse immédiate, c’est juste un début. Donner du sens aux moments partagés Les absences ne doivent pas faire disparaitre la qualité des moments partagés. Bien qu’exceptionnels, ils peuvent être intenses. Un geste quotidien, même modeste, peut être un gage de complicité. Un appel chaque soir à heure réglée. Un week-end par mois à deux. Une carte postale de temps à autre. Un projet à envisager ensemble. Développer des rituels, c’est reconnaître que le lien existe malgré la distance. C’est donner une dimension affective à des références temporelles, des signes que l’autre est toujours là, même loin. Les enfants, s’il y en a, s’y raccrochent aussi. Pas question cependant d’en rajouter ni d’être contraints. C’est simplement l’idée d’instaurer des temps qui rappellent qu’on est toujours dans le même bateau. Assumer seule le quotidien peut vite être pesant. Fatigue physique, solitude affective, engagement mental… Le sentiment d’isolement est lourd. Dans ces moments, se tourner vers d’autres pourrait alléger le fardeau. Sont disponibles des amis proches, des membres de la famille, des voisins, ou même un groupe de soutien qui peuvent vous écouter, vous conseiller, vous soutenir par leur présence. Il ne s’agit pas de se lamenter, mais de s’ouvrir à d’autres, de rompre le cercle du silence. Parfois, la simple démarche de s’adresser à une personne extérieure aide à prendre du recul, et allège le couple de tout le poids de la situation. Lire également : Comment faire quand on ne peut plus supporter son conjoint ? Se retrouver avec soi-même L’absence de l’autre pourrait être aussi un moment pour se retrouver soi-même. Reprendre les activités remisées dans un coin. Lire, écrire, cuisiner, faire du sport, militer pour une cause, sortir, rire avec d’autres. Être seul ne signifie pas forcément être sans. Prendre soin de soi, c’est se rappeler qu’on existe au-delà du lien. Qu’on peut être femme, amie, mère, professionnelle, sans toujours attendre l’autre. Cette autonomie affective ne supprime pas l’amour, elle le libère. Cela ne veut pas dire tout gérer soi-même, tout prendre pour soi. Mais retrouver un peu d’énergie personnelle permet de mieux vivre l’attente. Parfois, de poser les bonnes limites. Il arrive que la souffrance soit trop forte. Que la parole se bloque. Que la solitude commence à peser. Dans ces cas, voir un professionnel peut permettre d’éclairer une voie. Un conseiller conjugal, un thérapeute, peuvent offrir un espace neutre pour dire ce qui coince. Pour aussi fonder une demande. Parfois, on s’aperçoit que la question ne se limite pas à celle des absences. Mais de reconnaissance, de place, d’écoute. Demander un coup de main ne veut pas dire être démuni. C’est un choix courageux. Pour soi, pour ses proches, pour l’avenir. Aimer un absent, c’est vivre une relation à possibilité. Chaque jour, les gestes du quotidien doivent être réinventés. Le lien doit être fait vivre, quelques fois à distance, quelques fois dans l’attente. Ce chemin est fait de hauts et de bas. Pas de modèles parfaits pour construire, mais une histoire à trouver, des repères ajustés, des façons de fonctionner en duo. Ce qui compte, c’est que chacun y trouve le respect, l’écoute, le soutien. Il ne s’agit pas de préserver son couple dans le sursaut, mais d’y travailler ensemble, jour après jour, malgré la distance, malgré les horaires. Donc dans cette réalité où l’absence est plus souvent présente que l’autre, il est une question à poser : comment faire que la distance n’efface jamais le lien ?

Troisième Image de Amour/Couple. Vivre avec un conjoint qui s’absente souvent, c’est vivre au quotidien à travers un vide. Ce vide ne se mesure pas seulement en kilomètres, en heures, mais s’exprime aussi par des silences, par des frustrations, par des partages solitaires. Quand celui ou celle que l’on aime est souvent à distance – pour le travail, des obligations de toutes sortes – celle/celui qui est resté au domicile peut se sentir délaissé(e), incompris(e). Ce n’est pas seulement une question de présence physique. C’est une question d’équilibre affectif, de relation à maintenir, malgré l’éloignement. Dire ce que l’on ressent, sans détour En ces instants, la nécessité de parler s’impose. Pas pour faire des reproches, mais pour être entendu. Trouver le moment opportun, celui où les esprits sont calmés. Ensuite, poser des mots sur le manque. Dire la fatigue d’être seule pour des situations. Dire que l’absence peut parfois être vécue comme un abandon. L’écoute va ensuite. Écouter ce que l’autre vit, lui-aussi. Peut-être qu’il ne prend pas conscience de l’impact de ses absences. Peut-être qu’il pense faire son possible. Parfois, la distance pèse aussi sur celui qui part. Une conversation franche permet souvent de désamorcer des tensions qui ne se voient pas. Parler ne va pas régler tous les problèmes mais cela évite de laisser le malaise s’installer. Le silence devenu habituel fige les émotions dans rancune. Un certain nombre d’accords sont nécessaires dès qu’il y a vie à deux. Dans les cas où l’un des deux s’absente souvent, on doit pouvoir régulièrement les réviser. On n’est pas là pour tout contrôler mais pour trouver un équilibre d’où ces questions : combien de jours d’absence est-on en mesure d’accepter ? À quel moment faut-il réexaminer les priorités ? Parce que ce sont des questions à poser ensemble. On peut quand même produire un rythme de vie plus vivant. Cela exige de la bonne volonté et de la souplesse. Compromis n’est pas un mot en soi défaitiste. C’est intégrer les besoins de chacun à la prise en considération de l’autre sans donc annihiler l’un ou l’autre. Le sentiment d’abandon naît souvent de ce décalage entre attentes et réalité. Comment en apprenant à rediscuter, à éclaircir les règles de la vie commune, réduire ce décalage ou viendra l’apaiser si ce n’est par une point, un moment de renoncement qui n’épuise pas ou n’efface l’autre. Ce n’est pas pour autant une réponse immédiate, c’est juste un début. Donner du sens aux moments partagés Les absences ne doivent pas faire disparaitre la qualité des moments partagés. Bien qu’exceptionnels, ils peuvent être intenses. Un geste quotidien, même modeste, peut être un gage de complicité. Un appel chaque soir à heure réglée. Un week-end par mois à deux. Une carte postale de temps à autre. Un projet à envisager ensemble. Développer des rituels, c’est reconnaître que le lien existe malgré la distance. C’est donner une dimension affective à des références temporelles, des signes que l’autre est toujours là, même loin. Les enfants, s’il y en a, s’y raccrochent aussi. Pas question cependant d’en rajouter ni d’être contraints. C’est simplement l’idée d’instaurer des temps qui rappellent qu’on est toujours dans le même bateau. Assumer seule le quotidien peut vite être pesant. Fatigue physique, solitude affective, engagement mental… Le sentiment d’isolement est lourd. Dans ces moments, se tourner vers d’autres pourrait alléger le fardeau. Sont disponibles des amis proches, des membres de la famille, des voisins, ou même un groupe de soutien qui peuvent vous écouter, vous conseiller, vous soutenir par leur présence. Il ne s’agit pas de se lamenter, mais de s’ouvrir à d’autres, de rompre le cercle du silence. Parfois, la simple démarche de s’adresser à une personne extérieure aide à prendre du recul, et allège le couple de tout le poids de la situation. Lire également : Comment faire quand on ne peut plus supporter son conjoint ? Se retrouver avec soi-même L’absence de l’autre pourrait être aussi un moment pour se retrouver soi-même. Reprendre les activités remisées dans un coin. Lire, écrire, cuisiner, faire du sport, militer pour une cause, sortir, rire avec d’autres. Être seul ne signifie pas forcément être sans. Prendre soin de soi, c’est se rappeler qu’on existe au-delà du lien. Qu’on peut être femme, amie, mère, professionnelle, sans toujours attendre l’autre. Cette autonomie affective ne supprime pas l’amour, elle le libère. Cela ne veut pas dire tout gérer soi-même, tout prendre pour soi. Mais retrouver un peu d’énergie personnelle permet de mieux vivre l’attente. Parfois, de poser les bonnes limites. Il arrive que la souffrance soit trop forte. Que la parole se bloque. Que la solitude commence à peser. Dans ces cas, voir un professionnel peut permettre d’éclairer une voie. Un conseiller conjugal, un thérapeute, peuvent offrir un espace neutre pour dire ce qui coince. Pour aussi fonder une demande. Parfois, on s’aperçoit que la question ne se limite pas à celle des absences. Mais de reconnaissance, de place, d’écoute. Demander un coup de main ne veut pas dire être démuni. C’est un choix courageux. Pour soi, pour ses proches, pour l’avenir. Aimer un absent, c’est vivre une relation à possibilité. Chaque jour, les gestes du quotidien doivent être réinventés. Le lien doit être fait vivre, quelques fois à distance, quelques fois dans l’attente. Ce chemin est fait de hauts et de bas. Pas de modèles parfaits pour construire, mais une histoire à trouver, des repères ajustés, des façons de fonctionner en duo. Ce qui compte, c’est que chacun y trouve le respect, l’écoute, le soutien. Il ne s’agit pas de préserver son couple dans le sursaut, mais d’y travailler ensemble, jour après jour, malgré la distance, malgré les horaires. Donc dans cette réalité où l’absence est plus souvent présente que l’autre, il est une question à poser : comment faire que la distance n’efface jamais le lien ?

Quatrième Image de Amour/Couple. Vivre avec un conjoint qui s’absente souvent, c’est vivre au quotidien à travers un vide. Ce vide ne se mesure pas seulement en kilomètres, en heures, mais s’exprime aussi par des silences, par des frustrations, par des partages solitaires. Quand celui ou celle que l’on aime est souvent à distance – pour le travail, des obligations de toutes sortes – celle/celui qui est resté au domicile peut se sentir délaissé(e), incompris(e). Ce n’est pas seulement une question de présence physique. C’est une question d’équilibre affectif, de relation à maintenir, malgré l’éloignement. Dire ce que l’on ressent, sans détour En ces instants, la nécessité de parler s’impose. Pas pour faire des reproches, mais pour être entendu. Trouver le moment opportun, celui où les esprits sont calmés. Ensuite, poser des mots sur le manque. Dire la fatigue d’être seule pour des situations. Dire que l’absence peut parfois être vécue comme un abandon. L’écoute va ensuite. Écouter ce que l’autre vit, lui-aussi. Peut-être qu’il ne prend pas conscience de l’impact de ses absences. Peut-être qu’il pense faire son possible. Parfois, la distance pèse aussi sur celui qui part. Une conversation franche permet souvent de désamorcer des tensions qui ne se voient pas. Parler ne va pas régler tous les problèmes mais cela évite de laisser le malaise s’installer. Le silence devenu habituel fige les émotions dans rancune. Un certain nombre d’accords sont nécessaires dès qu’il y a vie à deux. Dans les cas où l’un des deux s’absente souvent, on doit pouvoir régulièrement les réviser. On n’est pas là pour tout contrôler mais pour trouver un équilibre d’où ces questions : combien de jours d’absence est-on en mesure d’accepter ? À quel moment faut-il réexaminer les priorités ? Parce que ce sont des questions à poser ensemble. On peut quand même produire un rythme de vie plus vivant. Cela exige de la bonne volonté et de la souplesse. Compromis n’est pas un mot en soi défaitiste. C’est intégrer les besoins de chacun à la prise en considération de l’autre sans donc annihiler l’un ou l’autre. Le sentiment d’abandon naît souvent de ce décalage entre attentes et réalité. Comment en apprenant à rediscuter, à éclaircir les règles de la vie commune, réduire ce décalage ou viendra l’apaiser si ce n’est par une point, un moment de renoncement qui n’épuise pas ou n’efface l’autre. Ce n’est pas pour autant une réponse immédiate, c’est juste un début. Donner du sens aux moments partagés Les absences ne doivent pas faire disparaitre la qualité des moments partagés. Bien qu’exceptionnels, ils peuvent être intenses. Un geste quotidien, même modeste, peut être un gage de complicité. Un appel chaque soir à heure réglée. Un week-end par mois à deux. Une carte postale de temps à autre. Un projet à envisager ensemble. Développer des rituels, c’est reconnaître que le lien existe malgré la distance. C’est donner une dimension affective à des références temporelles, des signes que l’autre est toujours là, même loin. Les enfants, s’il y en a, s’y raccrochent aussi. Pas question cependant d’en rajouter ni d’être contraints. C’est simplement l’idée d’instaurer des temps qui rappellent qu’on est toujours dans le même bateau. Assumer seule le quotidien peut vite être pesant. Fatigue physique, solitude affective, engagement mental… Le sentiment d’isolement est lourd. Dans ces moments, se tourner vers d’autres pourrait alléger le fardeau. Sont disponibles des amis proches, des membres de la famille, des voisins, ou même un groupe de soutien qui peuvent vous écouter, vous conseiller, vous soutenir par leur présence. Il ne s’agit pas de se lamenter, mais de s’ouvrir à d’autres, de rompre le cercle du silence. Parfois, la simple démarche de s’adresser à une personne extérieure aide à prendre du recul, et allège le couple de tout le poids de la situation. Lire également : Comment faire quand on ne peut plus supporter son conjoint ? Se retrouver avec soi-même L’absence de l’autre pourrait être aussi un moment pour se retrouver soi-même. Reprendre les activités remisées dans un coin. Lire, écrire, cuisiner, faire du sport, militer pour une cause, sortir, rire avec d’autres. Être seul ne signifie pas forcément être sans. Prendre soin de soi, c’est se rappeler qu’on existe au-delà du lien. Qu’on peut être femme, amie, mère, professionnelle, sans toujours attendre l’autre. Cette autonomie affective ne supprime pas l’amour, elle le libère. Cela ne veut pas dire tout gérer soi-même, tout prendre pour soi. Mais retrouver un peu d’énergie personnelle permet de mieux vivre l’attente. Parfois, de poser les bonnes limites. Il arrive que la souffrance soit trop forte. Que la parole se bloque. Que la solitude commence à peser. Dans ces cas, voir un professionnel peut permettre d’éclairer une voie. Un conseiller conjugal, un thérapeute, peuvent offrir un espace neutre pour dire ce qui coince. Pour aussi fonder une demande. Parfois, on s’aperçoit que la question ne se limite pas à celle des absences. Mais de reconnaissance, de place, d’écoute. Demander un coup de main ne veut pas dire être démuni. C’est un choix courageux. Pour soi, pour ses proches, pour l’avenir. Aimer un absent, c’est vivre une relation à possibilité. Chaque jour, les gestes du quotidien doivent être réinventés. Le lien doit être fait vivre, quelques fois à distance, quelques fois dans l’attente. Ce chemin est fait de hauts et de bas. Pas de modèles parfaits pour construire, mais une histoire à trouver, des repères ajustés, des façons de fonctionner en duo. Ce qui compte, c’est que chacun y trouve le respect, l’écoute, le soutien. Il ne s’agit pas de préserver son couple dans le sursaut, mais d’y travailler ensemble, jour après jour, malgré la distance, malgré les horaires. Donc dans cette réalité où l’absence est plus souvent présente que l’autre, il est une question à poser : comment faire que la distance n’efface jamais le lien ?

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