Se connecter
Samedi, 7 Juin 2025 à 9:59

C’Est Vrai, L’Amour Rend Aveugle. Et Il Y A Une Excellente Raison À Cela

Forum Ivoireland / Amour/Couple / C’Est Vrai, L’Amour Rend Aveugle. Et Il Y A Une Excellente Raison À Cela (5651 Vues)

L'Amour Vrai Existe T-Il Encore De Nos Jours? / Des Disputes Incessantes, Une Affection Épuisante, Mais l'Amour Persiste / Comment Faire Grandir Le Feu De l'Amour Au Sein d'Un Couple? (2) (3) (4)

(1) Répondre (Descendre)

DavidLover DavidLover le 9 septembre 2015 à 23:18

C'est bien connu, lorsque l'on est amoureux, on a souvent "la tête" ailleurs ! Or c'est aujourd'hui prouvé : la simple vision d'une femme attirante empêche les hommes de réfléchir normalement. Et ces demoiselles seraient de véritables droguées de l'amour ! Le cœur a ses raisons, que la raison n'entend pas…

Vous l'avez remarqué : lorsque l'on est amoureux, difficile de réunir ses pensées…

(Commenter) (Signaler)

Naomi Naomi le 13 septembre 2015 à 14:39

La science de l'amour

Des scientifiques ont montré que les hommes n'étaient pas aptes à réfléchir dès qu'une jolie fille était dans les parages. En effet, la testostérone nuirait aux neurones ! Pour parvenir à ce résultat, des chercheurs canadiens ont recruté des étudiants et étudiantes auxquels ils proposaient deux choix : recevoir tout de suite une petite somme d'argent (de 10000 à 25000 fcfa) ou accepter de recevoir 30000 à 50000 fcfa, mais dans les semaines ou les mois à venir. Le choix logique est bien sûr d'accepter la plus grosse somme d'argent…

Mais les scientifiques ont ajouté un paramètre : ils demandaient à certains de faire ce choix en admirant des photos des femmes ou d'hommes considérés comme attirants.



Les hommes court-circuités…

Résultat : les femmes ne modifient pas leur choix (la plus grosse somme plus tard) après avoir vu un homme "attirant". Mais il n'en va pas de même chez les hommes. Dès qu'ils aperçoivent une femme séduisante, ils ne sont plus capables de faire les bons choix ! Apparemment, les hommes auraient ainsi leurs capacités de réflexion court-circuitées par une femme qu'ils jugent attirante. Les scientifiques n'ont pas d'explication claire de ce phénomène. Ils soulignent néanmoins que le lien est fort entre les zones activées par la séduction et le système de valeurs. Mais si les hommes perdent la tête pour une femme, pourquoi l'inverse n'est-il pas vrai ? Mais celles-ci ont d'autres réactions incontrôlables face à l'âme soeur…



Les femmes droguées

Selon des chercheurs new-yorkais, les femmes seraient de véritables droguées de l'amour ! En effet, ils ont étudié le fonctionnement du cerveau amoureux. Pour cela, les scientifiques ont recruté des étudiants qui débutaient une histoire d'amour. Ils les ont alors placés dans un appareil d'imagerie par résonance magnétique, tout en leur montrant des photos de l'être aimé ou de proches "neutres". Ils ont alors observé quelles zones du cerveau était activées par l'image du partenaire. Et là, surprise : l'amour « allume » des parties du centre des émotions, impliquées dans les systèmes de plaisir et de récompense. En clair, ce sont les mêmes zones qui sont activées par la prise de drogue. Or les scientifiques ont observé que ce phénomène était particulièrement fort chez les femmes.

Ainsi, le cerveau va être enclin à rechercher sa dose de satisfaction régulièrement, en allant vers la personne aimée. Et cette addiction entraînerait un syndrome de manque, dès que le conjoint est absent trop longtemps. Mais on ne sait pas si, à l'instar de la drogue, il faut ensuite des "doses d'amour" de plus en plus fortes pour contenter notre cerveau !

Si la science comprend de mieux en mieux les mécanismes de l'amour, ce sentiment parvient à garder sa part de mystère. La mise au point du filtre d'amour n'est pas pour demain…

(Commenter) (Signaler)

UtilisateurRoy10 UtilisateurRoy10 le 25 septembre 2015 à 0:59

Vrai?

(Commenter) (Signaler)

Glech Glech le 25 septembre 2015 à 2:18

Oui c'est vrai l'amour rend aveugle

(Commenter) (Signaler)

Matinou Matinou le 25 septembre 2015 à 21:40

Glech:
Oui c'est vrai l'amour rend aveugle
Vrai

(Commenter) (Signaler)

julien44 julien44 le 26 septembre 2015 à 2:55

Naomi:
La science de l'amour

Des scientifiques ont montré que les hommes n'étaient pas aptes à réfléchir dès qu'une jolie fille était dans les parages. En effet, la testostérone nuirait aux neurones ! Pour parvenir à ce résultat, des chercheurs canadiens ont recruté des étudiants et étudiantes auxquels ils proposaient deux choix : recevoir tout de suite une petite somme d'argent (de 10000 à 25000 fcfa) ou accepter de recevoir 30000 à 50000 fcfa, mais dans les semaines ou les mois à venir. Le choix logique est bien sûr d'accepter la plus grosse somme d'argent…

Mais les scientifiques ont ajouté un paramètre : ils demandaient à certains de faire ce choix en admirant des photos des femmes ou d'hommes considérés comme attirants.



Les hommes court-circuités…

Résultat : les femmes ne modifient pas leur choix (la plus grosse somme plus tard) après avoir vu un homme "attirant". Mais il n'en va pas de même chez les hommes. Dès qu'ils aperçoivent une femme séduisante, ils ne sont plus capables de faire les bons choix ! Apparemment, les hommes auraient ainsi leurs capacités de réflexion court-circuitées par une femme qu'ils jugent attirante. Les scientifiques n'ont pas d'explication claire de ce phénomène. Ils soulignent néanmoins que le lien est fort entre les zones activées par la séduction et le système de valeurs. Mais si les hommes perdent la tête pour une femme, pourquoi l'inverse n'est-il pas vrai ? Mais celles-ci ont d'autres réactions incontrôlables face à l'âme soeur…



Les femmes droguées

Selon des chercheurs new-yorkais, les femmes seraient de véritables droguées de l'amour ! En effet, ils ont étudié le fonctionnement du cerveau amoureux. Pour cela, les scientifiques ont recruté des étudiants qui débutaient une histoire d'amour. Ils les ont alors placés dans un appareil d'imagerie par résonance magnétique, tout en leur montrant des photos de l'être aimé ou de proches "neutres". Ils ont alors observé quelles zones du cerveau était activées par l'image du partenaire. Et là, surprise : l'amour « allume » des parties du centre des émotions, impliquées dans les systèmes de plaisir et de récompense. En clair, ce sont les mêmes zones qui sont activées par la prise de drogue. Or les scientifiques ont observé que ce phénomène était particulièrement fort chez les femmes.

Ainsi, le cerveau va être enclin à rechercher sa dose de satisfaction régulièrement, en allant vers la personne aimée. Et cette addiction entraînerait un syndrome de manque, dès que le conjoint est absent trop longtemps. Mais on ne sait pas si, à l'instar de la drogue, il faut ensuite des "doses d'amour" de plus en plus fortes pour contenter notre cerveau !

Si la science comprend de mieux en mieux les mécanismes de l'amour, ce sentiment parvient à garder sa part de mystère. La mise au point du filtre d'amour n'est pas pour demain…
Peu tètre vrai

(Commenter) (Signaler)

DioulaTche DioulaTche le 4 octobre 2015 à 4:40

Naomi:
La science de l'amour

Des scientifiques ont montré que les hommes n'étaient pas aptes à réfléchir dès qu'une jolie fille était dans les parages. En effet, la testostérone nuirait aux neurones ! Pour parvenir à ce résultat, des chercheurs canadiens ont recruté des étudiants et étudiantes auxquels ils proposaient deux choix : recevoir tout de suite une petite somme d'argent (de 10000 à 25000 fcfa) ou accepter de recevoir 30000 à 50000 fcfa, mais dans les semaines ou les mois à venir. Le choix logique est bien sûr d'accepter la plus grosse somme d'argent…

Mais les scientifiques ont ajouté un paramètre : ils demandaient à certains de faire ce choix en admirant des photos des femmes ou d'hommes considérés comme attirants.



Les hommes court-circuités…

Résultat : les femmes ne modifient pas leur choix (la plus grosse somme plus tard) après avoir vu un homme "attirant". Mais il n'en va pas de même chez les hommes. Dès qu'ils aperçoivent une femme séduisante, ils ne sont plus capables de faire les bons choix ! Apparemment, les hommes auraient ainsi leurs capacités de réflexion court-circuitées par une femme qu'ils jugent attirante. Les scientifiques n'ont pas d'explication claire de ce phénomène. Ils soulignent néanmoins que le lien est fort entre les zones activées par la séduction et le système de valeurs. Mais si les hommes perdent la tête pour une femme, pourquoi l'inverse n'est-il pas vrai ? Mais celles-ci ont d'autres réactions incontrôlables face à l'âme soeur…



Les femmes droguées

Selon des chercheurs new-yorkais, les femmes seraient de véritables droguées de l'amour ! En effet, ils ont étudié le fonctionnement du cerveau amoureux. Pour cela, les scientifiques ont recruté des étudiants qui débutaient une histoire d'amour. Ils les ont alors placés dans un appareil d'imagerie par résonance magnétique, tout en leur montrant des photos de l'être aimé ou de proches "neutres". Ils ont alors observé quelles zones du cerveau était activées par l'image du partenaire. Et là, surprise : l'amour « allume » des parties du centre des émotions, impliquées dans les systèmes de plaisir et de récompense. En clair, ce sont les mêmes zones qui sont activées par la prise de drogue. Or les scientifiques ont observé que ce phénomène était particulièrement fort chez les femmes.

Ainsi, le cerveau va être enclin à rechercher sa dose de satisfaction régulièrement, en allant vers la personne aimée. Et cette addiction entraînerait un syndrome de manque, dès que le conjoint est absent trop longtemps. Mais on ne sait pas si, à l'instar de la drogue, il faut ensuite des "doses d'amour" de plus en plus fortes pour contenter notre cerveau !

Si la science comprend de mieux en mieux les mécanismes de l'amour, ce sentiment parvient à garder sa part de mystère. La mise au point du filtre d'amour n'est pas pour demain…
Vrais

(Commenter) (Signaler)

Moussa172 Moussa172 le 16 octobre 2015 à 21:53

oui c'est vrai

(Commenter) (Signaler)

UtilisateurMaz UtilisateurMaz le 19 octobre 2015 à 21:45

Vrai

(Commenter) (Signaler)

Yohan12 Yohan12 le 20 octobre 2015 à 0:16

(Commenter) (Signaler)

IbrahimaSory4 IbrahimaSory4 le 20 octobre 2015 à 0:52

Vrai

(Commenter) (Signaler)

Alex364 Alex364 le 20 octobre 2015 à 1:06

Vrauf!!!

(Commenter) (Signaler)

Arnaud91 Arnaud91 le 20 octobre 2015 à 2:08

Alex364:
Vrauf!!!
Ces vrai

(Commenter) (Signaler)

ChefDeTravaux ChefDeTravaux le 20 octobre 2015 à 3:06

oui on peut dire que vrai car si aime trop tu peux mm pas te contrôler

(Commenter) (Signaler)

Jojo128 Jojo128 le 20 octobre 2015 à 20:11

l'amour est la plus belle chose sur terre , alors pour moi ca rend plus qu'aveugle

(Commenter) (Signaler)

Yohan12 Yohan12 le 8 novembre 2015 à 4:24

vrai,quand tu aime tes meilleur ami(es) peuvent t dire les defauts de cett personne mais tu n`aura jamais le temps de tout ca. tellement t`es aveuglé ces defauts deviennent pour toi ces qualités,jusqu`a ce que tu t`en rend compte

(Commenter) (Signaler)

Vicky64 Vicky64 le 8 novembre 2015 à 5:07

exactement l'amour rend aveugle quand la personne a fait un bon choix.

(Commenter) (Signaler)

Williams136 Williams136 le 8 novembre 2015 à 11:22

C'est vrai l'amour rend aveugle, mais il faut savoir ouvrir les yeux car un aveugle ne voie pas et il peut tomber dans un trou a tout moment.

(Commenter) (Signaler)

Melchisedek Melchisedek le 13 janvier 2016 à 20:40

vrai

(Commenter) (Signaler)

RomeoIvoire RomeoIvoire le 21 février 2024 à 6:38

L’amour possède ce trait d’invisibilité mais de puissance, à la fois de fébrilité et de jouissance, qui fait que nous en sommes traversés, bouleversés et transformés. Souvent décrit comme un vertige, comme un feu intérieur qui permet de nourrir des élans passionnés, voire irrationnels, l’expression « l’amour rend aveugle », bien que n’étant pas d’hier, ne cesse aussi de résonner en nous. Pourquoi, lorsqu’il se débride, la cécité affective est-elle au premier plan ? Pourquoi la logique parait-elle effacée par la passion, par des émotions qui peuvent être fortes voire incontrôlables ? Autant de questions qui nous tendent vers les mystères de ce sentiment universel.

Quand le cœur parle plus fort que la tête


L’amour agit sur le cerveau comme un interrupteur. Le simple fait d’apercevoir un être aimé déclenche des réactions chimiques qui inhibent la lucidité. Dopamine, ocytocine, sérotonine mettent en œuvre cette chimie des élans amoureux pour nous faire éprouver un plaisir intense. Résultat : le jugement s’embrouille. On ne distingue plus les défauts de l’être aimé. Les signaux d’alarme deviennent inaudibles.

On comprend dès lors pourquoi certaines personnes s’affranchissent des mises en garde de leurs proches. L’aveuglement amoureux n’est pas une faille morale, mais un fait biologique qui, contrairement à ce que l’on pourrait croire, n’est pas fragile et semble même inciter à des relations imprévues, à des pardons impossibles, à des acceptations de rester alors que tout interpelle à fuir.

Chez l’homme, la beauté du visage féminin joue probablement aussi un rôle. Des études ont montré que l’apparition d’un visage séduisant active les régions du plaisir immédiat au détriment de la réflexion rationnelle, au risque de nous faire agir hors norme et de manière irréfléchie, sous influence de l’animus plutôt que de le bon sens.

Il arrive que l’amour prenne l’allure d’une dépendance. On ne parle pas de faiblesse, juste d’un fonctionnement neuronal qui associe certains types de sensations à la nécessité de vivre. Comme une drogue douce, l’amour peut faire chavirer, accro à l’euphorie des débuts, à l’attention portée, au frisson du neuf. Ce type d’intensité affective ne concerne pas uniquement les débuts. Même au cœur d’une consommation d’une passion distendue, certains individus, encore pris dans l’alliance, sont déterminés à se séparer de leur partenaire dans une forme d’attachement chimique.

L’inquiétude à renoncer n’est plus parce qu’ils sont effrayés d’être seuls, mais parce qu’ils perdent leur dose quotidienne de l’émotion nécessaire pour vivre. Ce trouble existe chez certaines femmes. Les idéaux romantiques martelés par les codes culturels et sociaux, par les contes de fées, par le cinéma et la chanson offre la certitude que l’amour mérite tous les sacrifices. Certains s’arc-boutent dans des relations depuis longtemps déséquilibrées, persuadées que c’est par la seule patience, par la seule attention, et par l’amour qu’un jour on peut tout transformer.


https://www.youtube.com/watch?v=GL9r5R1mPG8

Quand la passion écrase la raison


Au moment de vivre une relation amoureuse avec intensité, une certaine quantité de réalités peut s’obscurcir. On excusera l’autre, on minimisera ses erreurs, on détournera le regard sur ce qui dérange. On se dira que l’amour répare tout. Mais même si elle est belle, cette pensée peut parfois amener à une grande désillusion. Certaines personnes vont se retrouver piégées par une histoire toxique. Elles vont s’accrocher à des promesses, à des souvenirs. Ce n’est pas qu’elle ne voit pas la vérité, c’est qu’elle ne veut pas la voir. En effet, y faire face signerait un abandon. Mais abandonner l’amour serait parfois un peu comme se renoncer soi-même.

Pourtant aimer ne devrait pas vouloir dire s’oublier. L’amour qui nous aveugle devient dangereux lorsque nous le laissons nous faire renier nos valeurs, tolérer l’intolérable, vivre dans une illusion. L’enjeu finira donc par être de réapprendre à voir. Aimer sans se perdre.

Certaines expériences amoureuses, même douloureuses, finissent par nous apprendre à mieux nous connaître. À faire la différence entre passion et attachement, entre désir et besoin réel. Avec le retour du temps passé, nombreux sont ceux qui admettent avoir été emportés par un coup de foudre. Mais que cela soit sans honte, au contraire. Ces moments d’aveuglement sont souvent une étape pour se délivrer d’illusions : ils sont un moment charnière afin de mieux comprendre ce qu’on veut, ce qu’on ne veut plus, et surtout ce qu’on mérite.

Lire aussi : Comprendre et faire la différence entre passion et amour

D’autres relations existent pourtant où l’amour ne prive pas de lucidité, mais au contraire contribue à la stimuler. Des couples qui construisent leur lien sur l’écoute, le respect, et la volonté de se découvrir l’un l’autre dans une transparence mutuelle. Assez pour ne pas voir aveuglément, mais plutôt pour voir clairement. Les récits d’histoires d’un amour sont aussi variés que les personnes touchées. L’un décrira un amour tellement fort qu’il a oublié tout ce qui l’entoure. Un autre racontera comment une relation les a réveillés, les a mis en route. Chaque personne sent et pense l’amour différemment.


https://www.youtube.com/watch?v=jyt8MByfuvs

Et vous, avez-vous déjà été amoureux à vous en perdre la tête ? Est-il possible d’aller, ou même de vouloir aller jusqu’à perdre de soi-même ?

(Commenter) (Signaler)

Image de Amour/Couple. L’amour possède ce trait d’invisibilité mais de puissance, à la fois de fébrilité et de jouissance, qui fait que nous en sommes traversés, bouleversés et transformés. Souvent décrit comme un vertige, comme un feu intérieur qui permet de nourrir des élans passionnés, voire irrationnels, l’expression « l’amour rend aveugle », bien que n’étant pas d’hier, ne cesse aussi de résonner en nous. Pourquoi, lorsqu’il se débride, la cécité affective est-elle au premier plan ? Pourquoi la logique parait-elle effacée par la passion, par des émotions qui peuvent être fortes voire incontrôlables ? Autant de questions qui nous tendent vers les mystères de ce sentiment universel. Quand le cœur parle plus fort que la tête L’amour agit sur le cerveau comme un interrupteur. Le simple fait d’apercevoir un être aimé déclenche des réactions chimiques qui inhibent la lucidité. Dopamine, ocytocine, sérotonine mettent en œuvre cette chimie des élans amoureux pour nous faire éprouver un plaisir intense. Résultat : le jugement s’embrouille. On ne distingue plus les défauts de l’être aimé. Les signaux d’alarme deviennent inaudibles. On comprend dès lors pourquoi certaines personnes s’affranchissent des mises en garde de leurs proches. L’aveuglement amoureux n’est pas une faille morale, mais un fait biologique qui, contrairement à ce que l’on pourrait croire, n’est pas fragile et semble même inciter à des relations imprévues, à des pardons impossibles, à des acceptations de rester alors que tout interpelle à fuir. Chez l’homme, la beauté du visage féminin joue probablement aussi un rôle. Des études ont montré que l’apparition d’un visage séduisant active les régions du plaisir immédiat au détriment de la réflexion rationnelle, au risque de nous faire agir hors norme et de manière irréfléchie, sous influence de l’animus plutôt que de le bon sens. Il arrive que l’amour prenne l’allure d’une dépendance. On ne parle pas de faiblesse, juste d’un fonctionnement neuronal qui associe certains types de sensations à la nécessité de vivre. Comme une drogue douce, l’amour peut faire chavirer, accro à l’euphorie des débuts, à l’attention portée, au frisson du neuf. Ce type d’intensité affective ne concerne pas uniquement les débuts. Même au cœur d’une consommation d’une passion distendue, certains individus, encore pris dans l’alliance, sont déterminés à se séparer de leur partenaire dans une forme d’attachement chimique. L’inquiétude à renoncer n’est plus parce qu’ils sont effrayés d’être seuls, mais parce qu’ils perdent leur dose quotidienne de l’émotion nécessaire pour vivre. Ce trouble existe chez certaines femmes. Les idéaux romantiques martelés par les codes culturels et sociaux, par les contes de fées, par le cinéma et la chanson offre la certitude que l’amour mérite tous les sacrifices. Certains s’arc-boutent dans des relations depuis longtemps déséquilibrées, persuadées que c’est par la seule patience, par la seule attention, et par l’amour qu’un jour on peut tout transformer. Quand la passion écrase la raison Au moment de vivre une relation amoureuse avec intensité, une certaine quantité de réalités peut s’obscurcir. On excusera l’autre, on minimisera ses erreurs, on détournera le regard sur ce qui dérange. On se dira que l’amour répare tout. Mais même si elle est belle, cette pensée peut parfois amener à une grande désillusion. Certaines personnes vont se retrouver piégées par une histoire toxique. Elles vont s’accrocher à des promesses, à des souvenirs. Ce n’est pas qu’elle ne voit pas la vérité, c’est qu’elle ne veut pas la voir. En effet, y faire face signerait un abandon. Mais abandonner l’amour serait parfois un peu comme se renoncer soi-même. Pourtant aimer ne devrait pas vouloir dire s’oublier. L’amour qui nous aveugle devient dangereux lorsque nous le laissons nous faire renier nos valeurs, tolérer l’intolérable, vivre dans une illusion. L’enjeu finira donc par être de réapprendre à voir. Aimer sans se perdre. Certaines expériences amoureuses, même douloureuses, finissent par nous apprendre à mieux nous connaître. À faire la différence entre passion et attachement, entre désir et besoin réel. Avec le retour du temps passé, nombreux sont ceux qui admettent avoir été emportés par un coup de foudre. Mais que cela soit sans honte, au contraire. Ces moments d’aveuglement sont souvent une étape pour se délivrer d’illusions : ils sont un moment charnière afin de mieux comprendre ce qu’on veut, ce qu’on ne veut plus, et surtout ce qu’on mérite. Lire aussi : Comprendre et faire la différence entre passion et amour D’autres relations existent pourtant où l’amour ne prive pas de lucidité, mais au contraire contribue à la stimuler. Des couples qui construisent leur lien sur l’écoute, le respect, et la volonté de se découvrir l’un l’autre dans une transparence mutuelle. Assez pour ne pas voir aveuglément, mais plutôt pour voir clairement. Les récits d’histoires d’un amour sont aussi variés que les personnes touchées. L’un décrira un amour tellement fort qu’il a oublié tout ce qui l’entoure. Un autre racontera comment une relation les a réveillés, les a mis en route. Chaque personne sent et pense l’amour différemment. Et vous, avez-vous déjà été amoureux à vous en perdre la tête ? Est-il possible d’aller, ou même de vouloir aller jusqu’à perdre de soi-même ?

Deuxième Image de Amour/Couple. L’amour possède ce trait d’invisibilité mais de puissance, à la fois de fébrilité et de jouissance, qui fait que nous en sommes traversés, bouleversés et transformés. Souvent décrit comme un vertige, comme un feu intérieur qui permet de nourrir des élans passionnés, voire irrationnels, l’expression « l’amour rend aveugle », bien que n’étant pas d’hier, ne cesse aussi de résonner en nous. Pourquoi, lorsqu’il se débride, la cécité affective est-elle au premier plan ? Pourquoi la logique parait-elle effacée par la passion, par des émotions qui peuvent être fortes voire incontrôlables ? Autant de questions qui nous tendent vers les mystères de ce sentiment universel. Quand le cœur parle plus fort que la tête L’amour agit sur le cerveau comme un interrupteur. Le simple fait d’apercevoir un être aimé déclenche des réactions chimiques qui inhibent la lucidité. Dopamine, ocytocine, sérotonine mettent en œuvre cette chimie des élans amoureux pour nous faire éprouver un plaisir intense. Résultat : le jugement s’embrouille. On ne distingue plus les défauts de l’être aimé. Les signaux d’alarme deviennent inaudibles. On comprend dès lors pourquoi certaines personnes s’affranchissent des mises en garde de leurs proches. L’aveuglement amoureux n’est pas une faille morale, mais un fait biologique qui, contrairement à ce que l’on pourrait croire, n’est pas fragile et semble même inciter à des relations imprévues, à des pardons impossibles, à des acceptations de rester alors que tout interpelle à fuir. Chez l’homme, la beauté du visage féminin joue probablement aussi un rôle. Des études ont montré que l’apparition d’un visage séduisant active les régions du plaisir immédiat au détriment de la réflexion rationnelle, au risque de nous faire agir hors norme et de manière irréfléchie, sous influence de l’animus plutôt que de le bon sens. Il arrive que l’amour prenne l’allure d’une dépendance. On ne parle pas de faiblesse, juste d’un fonctionnement neuronal qui associe certains types de sensations à la nécessité de vivre. Comme une drogue douce, l’amour peut faire chavirer, accro à l’euphorie des débuts, à l’attention portée, au frisson du neuf. Ce type d’intensité affective ne concerne pas uniquement les débuts. Même au cœur d’une consommation d’une passion distendue, certains individus, encore pris dans l’alliance, sont déterminés à se séparer de leur partenaire dans une forme d’attachement chimique. L’inquiétude à renoncer n’est plus parce qu’ils sont effrayés d’être seuls, mais parce qu’ils perdent leur dose quotidienne de l’émotion nécessaire pour vivre. Ce trouble existe chez certaines femmes. Les idéaux romantiques martelés par les codes culturels et sociaux, par les contes de fées, par le cinéma et la chanson offre la certitude que l’amour mérite tous les sacrifices. Certains s’arc-boutent dans des relations depuis longtemps déséquilibrées, persuadées que c’est par la seule patience, par la seule attention, et par l’amour qu’un jour on peut tout transformer. Quand la passion écrase la raison Au moment de vivre une relation amoureuse avec intensité, une certaine quantité de réalités peut s’obscurcir. On excusera l’autre, on minimisera ses erreurs, on détournera le regard sur ce qui dérange. On se dira que l’amour répare tout. Mais même si elle est belle, cette pensée peut parfois amener à une grande désillusion. Certaines personnes vont se retrouver piégées par une histoire toxique. Elles vont s’accrocher à des promesses, à des souvenirs. Ce n’est pas qu’elle ne voit pas la vérité, c’est qu’elle ne veut pas la voir. En effet, y faire face signerait un abandon. Mais abandonner l’amour serait parfois un peu comme se renoncer soi-même. Pourtant aimer ne devrait pas vouloir dire s’oublier. L’amour qui nous aveugle devient dangereux lorsque nous le laissons nous faire renier nos valeurs, tolérer l’intolérable, vivre dans une illusion. L’enjeu finira donc par être de réapprendre à voir. Aimer sans se perdre. Certaines expériences amoureuses, même douloureuses, finissent par nous apprendre à mieux nous connaître. À faire la différence entre passion et attachement, entre désir et besoin réel. Avec le retour du temps passé, nombreux sont ceux qui admettent avoir été emportés par un coup de foudre. Mais que cela soit sans honte, au contraire. Ces moments d’aveuglement sont souvent une étape pour se délivrer d’illusions : ils sont un moment charnière afin de mieux comprendre ce qu’on veut, ce qu’on ne veut plus, et surtout ce qu’on mérite. Lire aussi : Comprendre et faire la différence entre passion et amour D’autres relations existent pourtant où l’amour ne prive pas de lucidité, mais au contraire contribue à la stimuler. Des couples qui construisent leur lien sur l’écoute, le respect, et la volonté de se découvrir l’un l’autre dans une transparence mutuelle. Assez pour ne pas voir aveuglément, mais plutôt pour voir clairement. Les récits d’histoires d’un amour sont aussi variés que les personnes touchées. L’un décrira un amour tellement fort qu’il a oublié tout ce qui l’entoure. Un autre racontera comment une relation les a réveillés, les a mis en route. Chaque personne sent et pense l’amour différemment. Et vous, avez-vous déjà été amoureux à vous en perdre la tête ? Est-il possible d’aller, ou même de vouloir aller jusqu’à perdre de soi-même ?

Troisième Image de Amour/Couple. L’amour possède ce trait d’invisibilité mais de puissance, à la fois de fébrilité et de jouissance, qui fait que nous en sommes traversés, bouleversés et transformés. Souvent décrit comme un vertige, comme un feu intérieur qui permet de nourrir des élans passionnés, voire irrationnels, l’expression « l’amour rend aveugle », bien que n’étant pas d’hier, ne cesse aussi de résonner en nous. Pourquoi, lorsqu’il se débride, la cécité affective est-elle au premier plan ? Pourquoi la logique parait-elle effacée par la passion, par des émotions qui peuvent être fortes voire incontrôlables ? Autant de questions qui nous tendent vers les mystères de ce sentiment universel. Quand le cœur parle plus fort que la tête L’amour agit sur le cerveau comme un interrupteur. Le simple fait d’apercevoir un être aimé déclenche des réactions chimiques qui inhibent la lucidité. Dopamine, ocytocine, sérotonine mettent en œuvre cette chimie des élans amoureux pour nous faire éprouver un plaisir intense. Résultat : le jugement s’embrouille. On ne distingue plus les défauts de l’être aimé. Les signaux d’alarme deviennent inaudibles. On comprend dès lors pourquoi certaines personnes s’affranchissent des mises en garde de leurs proches. L’aveuglement amoureux n’est pas une faille morale, mais un fait biologique qui, contrairement à ce que l’on pourrait croire, n’est pas fragile et semble même inciter à des relations imprévues, à des pardons impossibles, à des acceptations de rester alors que tout interpelle à fuir. Chez l’homme, la beauté du visage féminin joue probablement aussi un rôle. Des études ont montré que l’apparition d’un visage séduisant active les régions du plaisir immédiat au détriment de la réflexion rationnelle, au risque de nous faire agir hors norme et de manière irréfléchie, sous influence de l’animus plutôt que de le bon sens. Il arrive que l’amour prenne l’allure d’une dépendance. On ne parle pas de faiblesse, juste d’un fonctionnement neuronal qui associe certains types de sensations à la nécessité de vivre. Comme une drogue douce, l’amour peut faire chavirer, accro à l’euphorie des débuts, à l’attention portée, au frisson du neuf. Ce type d’intensité affective ne concerne pas uniquement les débuts. Même au cœur d’une consommation d’une passion distendue, certains individus, encore pris dans l’alliance, sont déterminés à se séparer de leur partenaire dans une forme d’attachement chimique. L’inquiétude à renoncer n’est plus parce qu’ils sont effrayés d’être seuls, mais parce qu’ils perdent leur dose quotidienne de l’émotion nécessaire pour vivre. Ce trouble existe chez certaines femmes. Les idéaux romantiques martelés par les codes culturels et sociaux, par les contes de fées, par le cinéma et la chanson offre la certitude que l’amour mérite tous les sacrifices. Certains s’arc-boutent dans des relations depuis longtemps déséquilibrées, persuadées que c’est par la seule patience, par la seule attention, et par l’amour qu’un jour on peut tout transformer. Quand la passion écrase la raison Au moment de vivre une relation amoureuse avec intensité, une certaine quantité de réalités peut s’obscurcir. On excusera l’autre, on minimisera ses erreurs, on détournera le regard sur ce qui dérange. On se dira que l’amour répare tout. Mais même si elle est belle, cette pensée peut parfois amener à une grande désillusion. Certaines personnes vont se retrouver piégées par une histoire toxique. Elles vont s’accrocher à des promesses, à des souvenirs. Ce n’est pas qu’elle ne voit pas la vérité, c’est qu’elle ne veut pas la voir. En effet, y faire face signerait un abandon. Mais abandonner l’amour serait parfois un peu comme se renoncer soi-même. Pourtant aimer ne devrait pas vouloir dire s’oublier. L’amour qui nous aveugle devient dangereux lorsque nous le laissons nous faire renier nos valeurs, tolérer l’intolérable, vivre dans une illusion. L’enjeu finira donc par être de réapprendre à voir. Aimer sans se perdre. Certaines expériences amoureuses, même douloureuses, finissent par nous apprendre à mieux nous connaître. À faire la différence entre passion et attachement, entre désir et besoin réel. Avec le retour du temps passé, nombreux sont ceux qui admettent avoir été emportés par un coup de foudre. Mais que cela soit sans honte, au contraire. Ces moments d’aveuglement sont souvent une étape pour se délivrer d’illusions : ils sont un moment charnière afin de mieux comprendre ce qu’on veut, ce qu’on ne veut plus, et surtout ce qu’on mérite. Lire aussi : Comprendre et faire la différence entre passion et amour D’autres relations existent pourtant où l’amour ne prive pas de lucidité, mais au contraire contribue à la stimuler. Des couples qui construisent leur lien sur l’écoute, le respect, et la volonté de se découvrir l’un l’autre dans une transparence mutuelle. Assez pour ne pas voir aveuglément, mais plutôt pour voir clairement. Les récits d’histoires d’un amour sont aussi variés que les personnes touchées. L’un décrira un amour tellement fort qu’il a oublié tout ce qui l’entoure. Un autre racontera comment une relation les a réveillés, les a mis en route. Chaque personne sent et pense l’amour différemment. Et vous, avez-vous déjà été amoureux à vous en perdre la tête ? Est-il possible d’aller, ou même de vouloir aller jusqu’à perdre de soi-même ?

Quatrième Image de Amour/Couple. L’amour possède ce trait d’invisibilité mais de puissance, à la fois de fébrilité et de jouissance, qui fait que nous en sommes traversés, bouleversés et transformés. Souvent décrit comme un vertige, comme un feu intérieur qui permet de nourrir des élans passionnés, voire irrationnels, l’expression « l’amour rend aveugle », bien que n’étant pas d’hier, ne cesse aussi de résonner en nous. Pourquoi, lorsqu’il se débride, la cécité affective est-elle au premier plan ? Pourquoi la logique parait-elle effacée par la passion, par des émotions qui peuvent être fortes voire incontrôlables ? Autant de questions qui nous tendent vers les mystères de ce sentiment universel. Quand le cœur parle plus fort que la tête L’amour agit sur le cerveau comme un interrupteur. Le simple fait d’apercevoir un être aimé déclenche des réactions chimiques qui inhibent la lucidité. Dopamine, ocytocine, sérotonine mettent en œuvre cette chimie des élans amoureux pour nous faire éprouver un plaisir intense. Résultat : le jugement s’embrouille. On ne distingue plus les défauts de l’être aimé. Les signaux d’alarme deviennent inaudibles. On comprend dès lors pourquoi certaines personnes s’affranchissent des mises en garde de leurs proches. L’aveuglement amoureux n’est pas une faille morale, mais un fait biologique qui, contrairement à ce que l’on pourrait croire, n’est pas fragile et semble même inciter à des relations imprévues, à des pardons impossibles, à des acceptations de rester alors que tout interpelle à fuir. Chez l’homme, la beauté du visage féminin joue probablement aussi un rôle. Des études ont montré que l’apparition d’un visage séduisant active les régions du plaisir immédiat au détriment de la réflexion rationnelle, au risque de nous faire agir hors norme et de manière irréfléchie, sous influence de l’animus plutôt que de le bon sens. Il arrive que l’amour prenne l’allure d’une dépendance. On ne parle pas de faiblesse, juste d’un fonctionnement neuronal qui associe certains types de sensations à la nécessité de vivre. Comme une drogue douce, l’amour peut faire chavirer, accro à l’euphorie des débuts, à l’attention portée, au frisson du neuf. Ce type d’intensité affective ne concerne pas uniquement les débuts. Même au cœur d’une consommation d’une passion distendue, certains individus, encore pris dans l’alliance, sont déterminés à se séparer de leur partenaire dans une forme d’attachement chimique. L’inquiétude à renoncer n’est plus parce qu’ils sont effrayés d’être seuls, mais parce qu’ils perdent leur dose quotidienne de l’émotion nécessaire pour vivre. Ce trouble existe chez certaines femmes. Les idéaux romantiques martelés par les codes culturels et sociaux, par les contes de fées, par le cinéma et la chanson offre la certitude que l’amour mérite tous les sacrifices. Certains s’arc-boutent dans des relations depuis longtemps déséquilibrées, persuadées que c’est par la seule patience, par la seule attention, et par l’amour qu’un jour on peut tout transformer. Quand la passion écrase la raison Au moment de vivre une relation amoureuse avec intensité, une certaine quantité de réalités peut s’obscurcir. On excusera l’autre, on minimisera ses erreurs, on détournera le regard sur ce qui dérange. On se dira que l’amour répare tout. Mais même si elle est belle, cette pensée peut parfois amener à une grande désillusion. Certaines personnes vont se retrouver piégées par une histoire toxique. Elles vont s’accrocher à des promesses, à des souvenirs. Ce n’est pas qu’elle ne voit pas la vérité, c’est qu’elle ne veut pas la voir. En effet, y faire face signerait un abandon. Mais abandonner l’amour serait parfois un peu comme se renoncer soi-même. Pourtant aimer ne devrait pas vouloir dire s’oublier. L’amour qui nous aveugle devient dangereux lorsque nous le laissons nous faire renier nos valeurs, tolérer l’intolérable, vivre dans une illusion. L’enjeu finira donc par être de réapprendre à voir. Aimer sans se perdre. Certaines expériences amoureuses, même douloureuses, finissent par nous apprendre à mieux nous connaître. À faire la différence entre passion et attachement, entre désir et besoin réel. Avec le retour du temps passé, nombreux sont ceux qui admettent avoir été emportés par un coup de foudre. Mais que cela soit sans honte, au contraire. Ces moments d’aveuglement sont souvent une étape pour se délivrer d’illusions : ils sont un moment charnière afin de mieux comprendre ce qu’on veut, ce qu’on ne veut plus, et surtout ce qu’on mérite. Lire aussi : Comprendre et faire la différence entre passion et amour D’autres relations existent pourtant où l’amour ne prive pas de lucidité, mais au contraire contribue à la stimuler. Des couples qui construisent leur lien sur l’écoute, le respect, et la volonté de se découvrir l’un l’autre dans une transparence mutuelle. Assez pour ne pas voir aveuglément, mais plutôt pour voir clairement. Les récits d’histoires d’un amour sont aussi variés que les personnes touchées. L’un décrira un amour tellement fort qu’il a oublié tout ce qui l’entoure. Un autre racontera comment une relation les a réveillés, les a mis en route. Chaque personne sent et pense l’amour différemment. Et vous, avez-vous déjà été amoureux à vous en perdre la tête ? Est-il possible d’aller, ou même de vouloir aller jusqu’à perdre de soi-même ?

(1) Répondre

Victime D’escroquerie En Amour, J’ai Besoin D’aide / Qu'Est Ce Que Vraiment L'Amour? Ce Qu'On S'Imagine Peut-Il Vraiment Devenir Réalité? / Hypnotisé Par Son Amour, Je Quitte Ma Famille

(Remonter)

Ivoireland - Copyright © 2012 - 2025 Tous droits réservés.
Avertissement: Chaque membre est responsable de tout ce qu'il/elle poste ou télécharge sur Ivoireland.