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J’Ai Accouché, Mais Ma Sœur Ne Sait Pas Que Mon Enfant Est De Son Mari. Que Faire?

Forum Ivoireland / Famille / J’Ai Accouché, Mais Ma Sœur Ne Sait Pas Que Mon Enfant Est De Son Mari. Que Faire? (2996 Vues)

Pourquoi Est-ce Que Les Gens Les Plus 'Riches' Ne Le Font Pas? / 60% Des Femmes Mariées N'aiment Pas Vraiment Leur Mari / Je Rêve De La Mort Chaque Fois Que Je Me Dispute Avec Ma Femme

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Naomi Naomi Mis à jour le 9 juin 2022 à 13:41

Il y a souvent des choses qui arrivent dans la vie qu’on n’arrive pas à s’en débarrasser aussi facilement. J’avais exactement 15 ans quand Maxime, le petit ami de ma grande sœur m’a violée dans les toilettes d’un bar à Abidjan. J’ai perdu ma virginité ce jour-là, et depuis ce passé me hante.

Je suis Jeanne. J'ai 21 ans. J'ai une grande sœur qui se prénomme Sylvie. Un jeudi du 19 novembre 2009, elle m’a dit de l’accompagner à une partie entre amis de son copain Charles dans un bar à Marcory. C’était un show partie qui devrait marquer le départ de Jonas, l'un des amis de Charles pour la France. Ce dernier devrait y rejoindre son frère pour poursuivre ses études. Aux environs de 22 heures tout le monde était là. Et l’ambiance était telle que je n’avais pas remarqué que j’avais dépassé la dose d’alcool. Ma sœur elle avait l’habitude de consommer de l’alcool. Mais moi, c’était la première fois que je goûtait à l’alcool. Ma sœur qui devait attirer mon attention, elle était déjà embarquée par l’ambiance et ne tenait presque plus sur ses pieds. Nous étions jusqu’à 1 heure du matin encore dans le bar. Et vers 1heures 30, j’eu envie de pisser. Charles le copain de ma sœur se proposa de m’accompagner, ma sœur n’a pas trouvé d’inconvénients.

J’ai été violée dans les toilettes

Une fois dans les toilettes, j’avais vraiment du mal à me tenir pour pisser. Dans la précipitation, je n’ai pas fermé la porte des toilettes dames et Charles qui m’a vue me débattre s’est avancée pour m’aider. Et là, il a découvert mes rondeurs qui ont créé un déclic en lui surtout qu’il avait bu assez d’alcool. Je l’ai repoussé une première fois, quand il a commencé à toucher mes seins. Il est revenu à la charge et s’est agrippé sur moi. Il m’a maîtrisée et plaquée contre le mur des toilettes. Avant de soulever la jupe que je portais. J’ai à l’instant repris mes esprits, mais j’étais tellement affaiblie que je ne pouvais plus lutter contre ce robuste qui m’avait complétement clouée au mur. Je ne savais pas comment se passait le sexe puisque j’étais vierge, mais il m’a directement pénétrée. J’avais mal et la douleur que j’éprouvais, et les gémissements étaient à peine audibles, puisqu’il avait pris soin de fermer ma bouche avec du scotch qu’il avait sorti de sa poche. J'ai fini par me laisser faire. Je n’ai rien ressenti si ce n’est que de la douleur atroce. Quand il a fini de me violer, il m’a défendue de parler de ce qui s’est passé à quelqu’un même à ma sœur. Il a donc fait croire à ma sœur que je n’allais pas bien et donc je devrais rentrer à la maison. Ma sœur étant dans le show ne s’est pas préoccupée de mon sort. Et Charles est allé me déposer à la maison dans sa voiture. Les parents ne devraient pas me voir dans cet état. Heureusement qu’ils dormaient à notre arrivée.

Je voulais parler de ce qui était arrivé à ma sœur

Le lendemain ma sœur est venue me trouver dans ma chambre pour savoir comment j’allais. En tout cas, le matin j’avais complément retrouvé mes esprits mais, je sentais une forte douleur au bas ventre. Et j’avais du mal à marcher. Elle m’a demandé ce que j’avais au pied. J’ai juste répondu que j’avais fait une chute la veille. Mais je ne lui ai pas dire que j’avais été violée par Charles, son petit ami. Sur place, elle a appelé Charles pour lui dire merci de m’avoir ramenée à la maison. Elle ne savait pas que je le détestais. J’ai eu cette envie de lui parler de ce qui s’est passé dans les toilettes du bar. Mais en réfléchissant, j’ai dû fermer ma bouche.

J’ai accouché, mais ma sœur ne sait pas que mon enfant est de son mari

Après ce qui s’est passé avec Charles dans les toilettes du bar, quelque mois après j’ai senti que je n’allais pas bien. J’avais à chaque fois de fortes nausées. J’ai dû garder ça pour moi seule pendant un bon moment avant d’en parler à ma sœur. Je lui ai dit qu’il se pourrait que je sois enceinte. Pour être sûres, toutes deux, nous sommes allées voir un médecin. Le test de grossesse était positif. Arrivée à la maison, ma sœur et moi avons décidé de ne pas en parler aux parents. Et je craignais que ma sœur me demande qui est l’auteur de ma grossesse. Cette question que je sentais venir est arrivée finalement. Quand elle m’a demandé le nom du voyou qui avait abusé de moi, j’ai n’ai pas pu lui dire la vérité. Elle a proposé de garder la grossesse, et saura comment faire comprendre cela aux parents. Mais moi, mon seul désir était d’avorter, parce que si elle découvrait que l’auteur était son copain, je ne sais pas comment serait sa réaction. Elle a réussi à convaincre nos parents et j’ai gardé la grossesse jusqu’à terme. J’ai accouché et tout s’est bien passé. Le petit David qui est sorti de mes entrailles a aujourd‘hui 5 ans et c’est le portrait tout craché de Charles, le mari de ma grande sœur. Chaque fois que ma sœur le prend dans ses bras, elle ne manque pas de dire que le petit ressemble tant à son chéri. 7 ans après, je n’arrive plus à supporter ce poids qui étreint mon cœur. Je veux enfin dire la vérité à ma sœur, mais le problème, c’est que ma sœur s’est mariée avec son Charles et les deux ont une fille, et sont très heureux. Que faire?

(Commenter) (Signaler) · Publié le 8 septembre 2015 à 13:19

Image de Famille. Il y a souvent des choses qui arrivent dans la vie qu’on n’arrive pas à s’en débarrasser aussi facilement. J’avais exactement 15 ans quand Maxime, le petit ami de ma grande sœur m’a violée dans les toilettes d’un bar à Abidjan. J’ai perdu ma virginité ce jour-là, et depuis ce passé me hante. Je suis Jeanne. J'ai 21 ans. J'ai une grande sœur qui se prénomme Sylvie. Un jeudi du 19 novembre 2009, elle m’a dit de l’accompagner à une partie entre amis de son copain Charles dans un bar à Marcory. C’était un show partie qui devrait marquer le départ de Jonas, l'un des amis de Charles pour la France. Ce dernier devrait y rejoindre son frère pour poursuivre ses études. Aux environs de 22 heures tout le monde était là. Et l’ambiance était telle que je n’avais pas remarqué que j’avais dépassé la dose d’alcool. Ma sœur elle avait l’habitude de consommer de l’alcool. Mais moi, c’était la première fois que je goûtait à l’alcool. Ma sœur qui devait attirer mon attention, elle était déjà embarquée par l’ambiance et ne tenait presque plus sur ses pieds. Nous étions jusqu’à 1 heure du matin encore dans le bar. Et vers 1heures 30, j’eu envie de pisser. Charles le copain de ma sœur se proposa de m’accompagner, ma sœur n’a pas trouvé d’inconvénients. J’ai été violée dans les toilettes Une fois dans les toilettes, j’avais vraiment du mal à me tenir pour pisser. Dans la précipitation, je n’ai pas fermé la porte des toilettes dames et Charles qui m’a vue me débattre s’est avancée pour m’aider. Et là, il a découvert mes rondeurs qui ont créé un déclic en lui surtout qu’il avait bu assez d’alcool. Je l’ai repoussé une première fois, quand il a commencé à toucher mes seins. Il est revenu à la charge et s’est agrippé sur moi. Il m’a maîtrisée et plaquée contre le mur des toilettes. Avant de soulever la jupe que je portais. J’ai à l’instant repris mes esprits, mais j’étais tellement affaiblie que je ne pouvais plus lutter contre ce robuste qui m’avait complétement clouée au mur. Je ne savais pas comment se passait le sexe puisque j’étais vierge, mais il m’a directement pénétrée. J’avais mal et la douleur que j’éprouvais, et les gémissements étaient à peine audibles, puisqu’il avait pris soin de fermer ma bouche avec du scotch qu’il avait sorti de sa poche. J'ai fini par me laisser faire. Je n’ai rien ressenti si ce n’est que de la douleur atroce. Quand il a fini de me violer, il m’a défendue de parler de ce qui s’est passé à quelqu’un même à ma sœur. Il a donc fait croire à ma sœur que je n’allais pas bien et donc je devrais rentrer à la maison. Ma sœur étant dans le show ne s’est pas préoccupée de mon sort. Et Charles est allé me déposer à la maison dans sa voiture. Les parents ne devraient pas me voir dans cet état. Heureusement qu’ils dormaient à notre arrivée. Je voulais parler de ce qui était arrivé à ma sœur Le lendemain ma sœur est venue me trouver dans ma chambre pour savoir comment j’allais. En tout cas, le matin j’avais complément retrouvé mes esprits mais, je sentais une forte douleur au bas ventre. Et j’avais du mal à marcher. Elle m’a demandé ce que j’avais au pied. J’ai juste répondu que j’avais fait une chute la veille. Mais je ne lui ai pas dire que j’avais été violée par Charles, son petit ami. Sur place, elle a appelé Charles pour lui dire merci de m’avoir ramenée à la maison. Elle ne savait pas que je le détestais. J’ai eu cette envie de lui parler de ce qui s’est passé dans les toilettes du bar. Mais en réfléchissant, j’ai dû fermer ma bouche. J’ai accouché, mais ma sœur ne sait pas que mon enfant est de son mari Après ce qui s’est passé avec Charles dans les toilettes du bar, quelque mois après j’ai senti que je n’allais pas bien. J’avais à chaque fois de fortes nausées. J’ai dû garder ça pour moi seule pendant un bon moment avant d’en parler à ma sœur. Je lui ai dit qu’il se pourrait que je sois enceinte. Pour être sûres, toutes deux, nous sommes allées voir un médecin. Le test de grossesse était positif. Arrivée à la maison, ma sœur et moi avons décidé de ne pas en parler aux parents. Et je craignais que ma sœur me demande qui est l’auteur de ma grossesse. Cette question que je sentais venir est arrivée finalement. Quand elle m’a demandé le nom du voyou qui avait abusé de moi, j’ai n’ai pas pu lui dire la vérité. Elle a proposé de garder la grossesse, et saura comment faire comprendre cela aux parents. Mais moi, mon seul désir était d’avorter, parce que si elle découvrait que l’auteur était son copain, je ne sais pas comment serait sa réaction. Elle a réussi à convaincre nos parents et j’ai gardé la grossesse jusqu’à terme. J’ai accouché et tout s’est bien passé. Le petit David qui est sorti de mes entrailles a aujourd‘hui 5 ans et c’est le portrait tout craché de Charles, le mari de ma grande sœur. Chaque fois que ma sœur le prend dans ses bras, elle ne manque pas de dire que le petit ressemble tant à son chéri. 7 ans après, je n’arrive plus à supporter ce poids qui étreint mon cœur. Je veux enfin dire la vérité à ma sœur, mais le problème, c’est que ma sœur s’est mariée avec son Charles et les deux ont une fille, et sont très heureux. Que faire?

Tresor71 Tresor71 Publié le 10 septembre 2015 à 21:52

ma chere dis lui la verite avant kil ne soit tard. ke diras-tu a cet enfant loskil sera grand? mais je te conseil d'en parler d'abord a ce charle sil est d'accord ou pas tu crash la verité a ta sœur. soit courageuse je te soutien xa arrive a tout le monde.

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Image de Famille. Ma chere dis lui la verite avant kil ne soit tard. ke diras-tu a cet enfant loskil sera grand? mais je te conseil d'en parler d'abord a ce charle sil est d'accord ou pas tu crash la verité a ta sœur. soit courageuse je te soutien xa arrive a tout le monde.

Cyrille59 Cyrille59 Publié le 26 septembre 2015 à 11:43

Ma cherie comme dit l'artiste "si la vérité blesse sache que le mensonge tue." et mieu vaut soigner une plaie que de perdre un être chair.

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Quatrième Image de Famille. Ma cherie comme dit l'artiste "si la vérité blesse sache que le mensonge tue." et mieu vaut soigner une plaie que de perdre un être chair.

Guyemmanuel Guyemmanuel Publié le 27 septembre 2015 à 4:40

Prkw traines tu?prie ton DIEU et remet LUI ces moments dans SES mains.et IL pourvoira.
Amen DIEU a fait le plus dure deja

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Raphael103 Raphael103 Publié le 30 septembre 2015 à 17:01

Tu n as pas le choix tau ou tard tu vas le dire donc fait le au bon moment

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DiarraDaouda DiarraDaouda Publié le 30 septembre 2015 à 19:45

Raphael103:
Tu n as pas le choix tau ou tard tu vas le dire donc fait le au bon moment
la mensonge à beau pris l’ascenseur et la vérité m'escalier elle finira par sorti un jour donc ma sœur liber toi en disant la vérité ta sœur saura te comprendre comme elle l'a fait pour les parents

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DiarraDaouda DiarraDaouda Publié le 30 septembre 2015 à 19:52

di la verité

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makayanewalou makayanewalou Publié le 1 octobre 2015 à 4:02

Combien peu tu tenir sur ton silence est ta conscience est elle tranquille

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DavidLover DavidLover Publié le 8 avril 2016 à 11:21

fai encor 1 autre avec ... C`est mieux ... !..!

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aznaseka aznaseka Publié le 8 avril 2016 à 15:49

DavidLover:
fai encor 1 autre avec ... C`est mieux ... !..!
Le mari d ta sre la il l habitude d faire xa o fille oubien si il a un scorch dans la poche en plein bar c que il a habitud d xa ok bref.dis tt à ta sre et denonce ce violeur la.je te souhaite beaucoup d courag et que Dieu t aide.

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RomeoIvoire RomeoIvoire Mis à jour le 25 mai à 13:46

Il arrive que les tribulations de la vie nous placent dans des contextes où aucun choix ne semble évident. Au lieu d’être blessé ou troublé par des inconnus, il s’agit parfois des êtres les plus proches de nous, famille, amour, loyauté, secret… autant de fils entrecroisés qui rendent certaines situations presque inextricables sans douleur. Dans mon cas, il est question d’un enfant, d’un secret, et surtout d’une ligne fictive franchie que je n’aurais jamais imaginé passer. De cette réalité découlent bien des sentiments difficiles à appréhender, qui me poussent aujourd’hui à rechercher des réponses, ou au moins un réconfort à travers l’échange.

Un secret trop lourd à porter seul


Je viens de devenir maman. Ce rendez-vous aurait dû être une simple fête, tout au plus une promesse. Mais à ce bonheur, il faut bien un secret que je n’arrive pas à taire : le père de cet enfant est l’époux de ma sœur. Cette pensée me ronge. Elle ne me laisse pas dormir. Elle me fait interroger mes choix, mes valeurs, et jusqu’à moi-même.

Je ne sais pas comment j’en suis arrivée là. Peut-être une succession de manquements, de désinvoltures, de moments partagés au mauvais moment. Je ne cherche pas d’excuse, je veux seulement comprendre. Ce que je ressens tient à la fois de la culpabilité, mais ce n’est pas exactement cela. C’est une souffrance amère où s’entremêlent la honte, la peur et l’affection. Mon enfant n’a rien demandé. Il mérite l’amour, le confort et la sécurité. Alors que sa naissance a enflammé un orage dans mon cœur.

Lorsque je regarde mon petit, je vois l’innocence. Je vois un petit être qui n’a rien choisi. Je réfléchis à comment lui construire une vie paisible dans un contexte si instable. Mon instinct me porte à le protéger, à lui faire avoir sa place dans ce monde pétri d’une histoire trouble.

Mais chaque sourire de mon enfant me rappelle aussi la trahison. Ma sœur. Cette relation que l’on a peut-être brisée pour toujours. Elle n’est pas au courant. Elle me fait totalement confiance. Elle me parle de ses projets, de son couple, sans imaginer un seul instant ce que je cache. Et plus elle me fait confiance, plus je souffre.

Parler ou se taire ? Le dilemme intérieur


La question revient sans cesse : dois-je lui dire ? Et si oui, comment ? Je redoute sa réaction. Sa colère, sa douleur, sa tristesse, je crains de briser ce qui peut l’être, peut-être pour toujours. Mais est-ce mieux de se taire ? Est-ce de l’amour que de mentir tous les jours ? Est-ce de la loyauté que d’entretenir une illusion au détriment de la vérité ?

Je vois bien que toutes les solutions ont leur prix : dire la vérité, c’est exposer au moins trois personnes à la tempête, se taire, c’est porter seule le fardeau de la souffrance, c’est bâtir un avenir sur un vide ou une trompeuse solidité. Où est la frontière entre protéger et fuir ?

Un jour viendra où mon enfant grandira. Il posera des questions. Il voudra découvrir son histoire. Sa famille. Son père. Et je redoute ce moment. Devrai-je inventer une version douce et floue ? Devrai-je tout lui dire, au risque d’être jugé ? Ou qu’il se sente issu d’un mensonge ? Comment lui prouver que l’amour que je lui porte est authentique, alors que l’histoire de sa naissance ne l’est pas entièrement ?

Ce regard futur me préoccupera. Car je ne veux pas qu’il se sente coupable, ni honteux. Je veux qu’il sache, malgré les péchés, qu’il a été désiré, attendu, aimé. Mais pour cela, je dois me confronter à la vérité moi-même. Me réconcilier avec ma propre décision. Et peut-être, un jour, lui offrir une histoire qui, bien que difficile, soit portée par une sincérité reconstruite.

Demander de l’aide, un premier pas


C’est en portant ce fond lourd de réflexion que je m’adresse à vous. Non pas pour avoir un jugement. Non pas pour avoir des excuses. Mais pour mettre en commun des réflexions. Pour entendre d’autres voix, d’autres cœurs. Peut-être certains d’entre vous avez éprouvé des situations proches, ou du moins un conflit familial fort, qui pourrait éclairer mon propos.

C’est compliqué de solliciter de l’aide sur une affaire si personnelle. Pourtant, parfois, le regard d’autrui permet le pas de côté, le nouveau regard pour tenter d’apaiser les tempêtes intérieures. C’est ce dont j’ai besoin aujourd’hui.

De toute façon, aucune relation n’est simple. Amour, famille, intégration… sont des principes si mêlés, parfois si confondus, au point d’appauvrir leurs frontières. Chaque choix qui conduit à mon cas est parfois un acte du cœur mais souvent de la confusion. Mais chaque cas est un être humain, sans doute fragile, imparfait, mais sincère. Aucun être humain n’arrive à ne jamais se tromper. Peut-être, l’important est notre seconde attention au regard de notre première décision…

Dois-je chercher à réparer ? Au contraire : protéger ce qui peut l’être encore. Ce que je ressens aujourd’hui, c’est d’abord un besoin de sens. Un besoin de reconstruire, lentement peut-être. Un besoin de réintroduire le bon mot au bon endroit, pour essayer de ne pas tout perdre.

Dans une situation où se croisent sentiments, liens du sang et responsabilités, aucune solution parfaite n’existe. Sont seuls là les choix, avec leur cortège d’effets. Et parfois, un tiers est nécessaire pour nous aider à faire un pas vers la vérité. Alors réponds-moi : si tu étais moi, que ferais-tu ? Comment parviendrais-tu à concilier loyauté, vérité, amour ?

(Commenter) (Signaler) · Publié le 2 mars 2024 à 18:59

Image de Famille. Il arrive que les tribulations de la vie nous placent dans des contextes où aucun choix ne semble évident. Au lieu d’être blessé ou troublé par des inconnus, il s’agit parfois des êtres les plus proches de nous, famille, amour, loyauté, secret… autant de fils entrecroisés qui rendent certaines situations presque inextricables sans douleur. Dans mon cas, il est question d’un enfant, d’un secret, et surtout d’une ligne fictive franchie que je n’aurais jamais imaginé passer. De cette réalité découlent bien des sentiments difficiles à appréhender, qui me poussent aujourd’hui à rechercher des réponses, ou au moins un réconfort à travers l’échange. Un secret trop lourd à porter seul Je viens de devenir maman. Ce rendez-vous aurait dû être une simple fête, tout au plus une promesse. Mais à ce bonheur, il faut bien un secret que je n’arrive pas à taire : le père de cet enfant est l’époux de ma sœur. Cette pensée me ronge. Elle ne me laisse pas dormir. Elle me fait interroger mes choix, mes valeurs, et jusqu’à moi-même. Je ne sais pas comment j’en suis arrivée là. Peut-être une succession de manquements, de désinvoltures, de moments partagés au mauvais moment. Je ne cherche pas d’excuse, je veux seulement comprendre. Ce que je ressens tient à la fois de la culpabilité, mais ce n’est pas exactement cela. C’est une souffrance amère où s’entremêlent la honte, la peur et l’affection. Mon enfant n’a rien demandé. Il mérite l’amour, le confort et la sécurité. Alors que sa naissance a enflammé un orage dans mon cœur. Lorsque je regarde mon petit, je vois l’innocence. Je vois un petit être qui n’a rien choisi. Je réfléchis à comment lui construire une vie paisible dans un contexte si instable. Mon instinct me porte à le protéger, à lui faire avoir sa place dans ce monde pétri d’une histoire trouble. Mais chaque sourire de mon enfant me rappelle aussi la trahison. Ma sœur. Cette relation que l’on a peut-être brisée pour toujours. Elle n’est pas au courant. Elle me fait totalement confiance. Elle me parle de ses projets, de son couple, sans imaginer un seul instant ce que je cache. Et plus elle me fait confiance, plus je souffre. Parler ou se taire ? Le dilemme intérieur La question revient sans cesse : dois-je lui dire ? Et si oui, comment ? Je redoute sa réaction. Sa colère, sa douleur, sa tristesse, je crains de briser ce qui peut l’être, peut-être pour toujours. Mais est-ce mieux de se taire ? Est-ce de l’amour que de mentir tous les jours ? Est-ce de la loyauté que d’entretenir une illusion au détriment de la vérité ? Je vois bien que toutes les solutions ont leur prix : dire la vérité, c’est exposer au moins trois personnes à la tempête, se taire, c’est porter seule le fardeau de la souffrance, c’est bâtir un avenir sur un vide ou une trompeuse solidité. Où est la frontière entre protéger et fuir ? Un jour viendra où mon enfant grandira. Il posera des questions. Il voudra découvrir son histoire. Sa famille. Son père. Et je redoute ce moment. Devrai-je inventer une version douce et floue ? Devrai-je tout lui dire, au risque d’être jugé ? Ou qu’il se sente issu d’un mensonge ? Comment lui prouver que l’amour que je lui porte est authentique, alors que l’histoire de sa naissance ne l’est pas entièrement ? Ce regard futur me préoccupera. Car je ne veux pas qu’il se sente coupable, ni honteux. Je veux qu’il sache, malgré les péchés, qu’il a été désiré, attendu, aimé. Mais pour cela, je dois me confronter à la vérité moi-même. Me réconcilier avec ma propre décision. Et peut-être, un jour, lui offrir une histoire qui, bien que difficile, soit portée par une sincérité reconstruite. Demander de l’aide, un premier pas C’est en portant ce fond lourd de réflexion que je m’adresse à vous. Non pas pour avoir un jugement. Non pas pour avoir des excuses. Mais pour mettre en commun des réflexions. Pour entendre d’autres voix, d’autres cœurs. Peut-être certains d’entre vous avez éprouvé des situations proches, ou du moins un conflit familial fort, qui pourrait éclairer mon propos. C’est compliqué de solliciter de l’aide sur une affaire si personnelle. Pourtant, parfois, le regard d’autrui permet le pas de côté, le nouveau regard pour tenter d’apaiser les tempêtes intérieures. C’est ce dont j’ai besoin aujourd’hui. De toute façon, aucune relation n’est simple. Amour, famille, intégration… sont des principes si mêlés, parfois si confondus, au point d’appauvrir leurs frontières. Chaque choix qui conduit à mon cas est parfois un acte du cœur mais souvent de la confusion. Mais chaque cas est un être humain, sans doute fragile, imparfait, mais sincère. Aucun être humain n’arrive à ne jamais se tromper. Peut-être, l’important est notre seconde attention au regard de notre première décision… Dois-je chercher à réparer ? Au contraire : protéger ce qui peut l’être encore. Ce que je ressens aujourd’hui, c’est d’abord un besoin de sens. Un besoin de reconstruire, lentement peut-être. Un besoin de réintroduire le bon mot au bon endroit, pour essayer de ne pas tout perdre. Dans une situation où se croisent sentiments, liens du sang et responsabilités, aucune solution parfaite n’existe. Sont seuls là les choix, avec leur cortège d’effets. Et parfois, un tiers est nécessaire pour nous aider à faire un pas vers la vérité. Alors réponds-moi : si tu étais moi, que ferais-tu ? Comment parviendrais-tu à concilier loyauté, vérité, amour ?

Deuxième Image de Famille. Il arrive que les tribulations de la vie nous placent dans des contextes où aucun choix ne semble évident. Au lieu d’être blessé ou troublé par des inconnus, il s’agit parfois des êtres les plus proches de nous, famille, amour, loyauté, secret… autant de fils entrecroisés qui rendent certaines situations presque inextricables sans douleur. Dans mon cas, il est question d’un enfant, d’un secret, et surtout d’une ligne fictive franchie que je n’aurais jamais imaginé passer. De cette réalité découlent bien des sentiments difficiles à appréhender, qui me poussent aujourd’hui à rechercher des réponses, ou au moins un réconfort à travers l’échange. Un secret trop lourd à porter seul Je viens de devenir maman. Ce rendez-vous aurait dû être une simple fête, tout au plus une promesse. Mais à ce bonheur, il faut bien un secret que je n’arrive pas à taire : le père de cet enfant est l’époux de ma sœur. Cette pensée me ronge. Elle ne me laisse pas dormir. Elle me fait interroger mes choix, mes valeurs, et jusqu’à moi-même. Je ne sais pas comment j’en suis arrivée là. Peut-être une succession de manquements, de désinvoltures, de moments partagés au mauvais moment. Je ne cherche pas d’excuse, je veux seulement comprendre. Ce que je ressens tient à la fois de la culpabilité, mais ce n’est pas exactement cela. C’est une souffrance amère où s’entremêlent la honte, la peur et l’affection. Mon enfant n’a rien demandé. Il mérite l’amour, le confort et la sécurité. Alors que sa naissance a enflammé un orage dans mon cœur. Lorsque je regarde mon petit, je vois l’innocence. Je vois un petit être qui n’a rien choisi. Je réfléchis à comment lui construire une vie paisible dans un contexte si instable. Mon instinct me porte à le protéger, à lui faire avoir sa place dans ce monde pétri d’une histoire trouble. Mais chaque sourire de mon enfant me rappelle aussi la trahison. Ma sœur. Cette relation que l’on a peut-être brisée pour toujours. Elle n’est pas au courant. Elle me fait totalement confiance. Elle me parle de ses projets, de son couple, sans imaginer un seul instant ce que je cache. Et plus elle me fait confiance, plus je souffre. Parler ou se taire ? Le dilemme intérieur La question revient sans cesse : dois-je lui dire ? Et si oui, comment ? Je redoute sa réaction. Sa colère, sa douleur, sa tristesse, je crains de briser ce qui peut l’être, peut-être pour toujours. Mais est-ce mieux de se taire ? Est-ce de l’amour que de mentir tous les jours ? Est-ce de la loyauté que d’entretenir une illusion au détriment de la vérité ? Je vois bien que toutes les solutions ont leur prix : dire la vérité, c’est exposer au moins trois personnes à la tempête, se taire, c’est porter seule le fardeau de la souffrance, c’est bâtir un avenir sur un vide ou une trompeuse solidité. Où est la frontière entre protéger et fuir ? Un jour viendra où mon enfant grandira. Il posera des questions. Il voudra découvrir son histoire. Sa famille. Son père. Et je redoute ce moment. Devrai-je inventer une version douce et floue ? Devrai-je tout lui dire, au risque d’être jugé ? Ou qu’il se sente issu d’un mensonge ? Comment lui prouver que l’amour que je lui porte est authentique, alors que l’histoire de sa naissance ne l’est pas entièrement ? Ce regard futur me préoccupera. Car je ne veux pas qu’il se sente coupable, ni honteux. Je veux qu’il sache, malgré les péchés, qu’il a été désiré, attendu, aimé. Mais pour cela, je dois me confronter à la vérité moi-même. Me réconcilier avec ma propre décision. Et peut-être, un jour, lui offrir une histoire qui, bien que difficile, soit portée par une sincérité reconstruite. Demander de l’aide, un premier pas C’est en portant ce fond lourd de réflexion que je m’adresse à vous. Non pas pour avoir un jugement. Non pas pour avoir des excuses. Mais pour mettre en commun des réflexions. Pour entendre d’autres voix, d’autres cœurs. Peut-être certains d’entre vous avez éprouvé des situations proches, ou du moins un conflit familial fort, qui pourrait éclairer mon propos. C’est compliqué de solliciter de l’aide sur une affaire si personnelle. Pourtant, parfois, le regard d’autrui permet le pas de côté, le nouveau regard pour tenter d’apaiser les tempêtes intérieures. C’est ce dont j’ai besoin aujourd’hui. De toute façon, aucune relation n’est simple. Amour, famille, intégration… sont des principes si mêlés, parfois si confondus, au point d’appauvrir leurs frontières. Chaque choix qui conduit à mon cas est parfois un acte du cœur mais souvent de la confusion. Mais chaque cas est un être humain, sans doute fragile, imparfait, mais sincère. Aucun être humain n’arrive à ne jamais se tromper. Peut-être, l’important est notre seconde attention au regard de notre première décision… Dois-je chercher à réparer ? Au contraire : protéger ce qui peut l’être encore. Ce que je ressens aujourd’hui, c’est d’abord un besoin de sens. Un besoin de reconstruire, lentement peut-être. Un besoin de réintroduire le bon mot au bon endroit, pour essayer de ne pas tout perdre. Dans une situation où se croisent sentiments, liens du sang et responsabilités, aucune solution parfaite n’existe. Sont seuls là les choix, avec leur cortège d’effets. Et parfois, un tiers est nécessaire pour nous aider à faire un pas vers la vérité. Alors réponds-moi : si tu étais moi, que ferais-tu ? Comment parviendrais-tu à concilier loyauté, vérité, amour ?

Troisième Image de Famille. Il arrive que les tribulations de la vie nous placent dans des contextes où aucun choix ne semble évident. Au lieu d’être blessé ou troublé par des inconnus, il s’agit parfois des êtres les plus proches de nous, famille, amour, loyauté, secret… autant de fils entrecroisés qui rendent certaines situations presque inextricables sans douleur. Dans mon cas, il est question d’un enfant, d’un secret, et surtout d’une ligne fictive franchie que je n’aurais jamais imaginé passer. De cette réalité découlent bien des sentiments difficiles à appréhender, qui me poussent aujourd’hui à rechercher des réponses, ou au moins un réconfort à travers l’échange. Un secret trop lourd à porter seul Je viens de devenir maman. Ce rendez-vous aurait dû être une simple fête, tout au plus une promesse. Mais à ce bonheur, il faut bien un secret que je n’arrive pas à taire : le père de cet enfant est l’époux de ma sœur. Cette pensée me ronge. Elle ne me laisse pas dormir. Elle me fait interroger mes choix, mes valeurs, et jusqu’à moi-même. Je ne sais pas comment j’en suis arrivée là. Peut-être une succession de manquements, de désinvoltures, de moments partagés au mauvais moment. Je ne cherche pas d’excuse, je veux seulement comprendre. Ce que je ressens tient à la fois de la culpabilité, mais ce n’est pas exactement cela. C’est une souffrance amère où s’entremêlent la honte, la peur et l’affection. Mon enfant n’a rien demandé. Il mérite l’amour, le confort et la sécurité. Alors que sa naissance a enflammé un orage dans mon cœur. Lorsque je regarde mon petit, je vois l’innocence. Je vois un petit être qui n’a rien choisi. Je réfléchis à comment lui construire une vie paisible dans un contexte si instable. Mon instinct me porte à le protéger, à lui faire avoir sa place dans ce monde pétri d’une histoire trouble. Mais chaque sourire de mon enfant me rappelle aussi la trahison. Ma sœur. Cette relation que l’on a peut-être brisée pour toujours. Elle n’est pas au courant. Elle me fait totalement confiance. Elle me parle de ses projets, de son couple, sans imaginer un seul instant ce que je cache. Et plus elle me fait confiance, plus je souffre. Parler ou se taire ? Le dilemme intérieur La question revient sans cesse : dois-je lui dire ? Et si oui, comment ? Je redoute sa réaction. Sa colère, sa douleur, sa tristesse, je crains de briser ce qui peut l’être, peut-être pour toujours. Mais est-ce mieux de se taire ? Est-ce de l’amour que de mentir tous les jours ? Est-ce de la loyauté que d’entretenir une illusion au détriment de la vérité ? Je vois bien que toutes les solutions ont leur prix : dire la vérité, c’est exposer au moins trois personnes à la tempête, se taire, c’est porter seule le fardeau de la souffrance, c’est bâtir un avenir sur un vide ou une trompeuse solidité. Où est la frontière entre protéger et fuir ? Un jour viendra où mon enfant grandira. Il posera des questions. Il voudra découvrir son histoire. Sa famille. Son père. Et je redoute ce moment. Devrai-je inventer une version douce et floue ? Devrai-je tout lui dire, au risque d’être jugé ? Ou qu’il se sente issu d’un mensonge ? Comment lui prouver que l’amour que je lui porte est authentique, alors que l’histoire de sa naissance ne l’est pas entièrement ? Ce regard futur me préoccupera. Car je ne veux pas qu’il se sente coupable, ni honteux. Je veux qu’il sache, malgré les péchés, qu’il a été désiré, attendu, aimé. Mais pour cela, je dois me confronter à la vérité moi-même. Me réconcilier avec ma propre décision. Et peut-être, un jour, lui offrir une histoire qui, bien que difficile, soit portée par une sincérité reconstruite. Demander de l’aide, un premier pas C’est en portant ce fond lourd de réflexion que je m’adresse à vous. Non pas pour avoir un jugement. Non pas pour avoir des excuses. Mais pour mettre en commun des réflexions. Pour entendre d’autres voix, d’autres cœurs. Peut-être certains d’entre vous avez éprouvé des situations proches, ou du moins un conflit familial fort, qui pourrait éclairer mon propos. C’est compliqué de solliciter de l’aide sur une affaire si personnelle. Pourtant, parfois, le regard d’autrui permet le pas de côté, le nouveau regard pour tenter d’apaiser les tempêtes intérieures. C’est ce dont j’ai besoin aujourd’hui. De toute façon, aucune relation n’est simple. Amour, famille, intégration… sont des principes si mêlés, parfois si confondus, au point d’appauvrir leurs frontières. Chaque choix qui conduit à mon cas est parfois un acte du cœur mais souvent de la confusion. Mais chaque cas est un être humain, sans doute fragile, imparfait, mais sincère. Aucun être humain n’arrive à ne jamais se tromper. Peut-être, l’important est notre seconde attention au regard de notre première décision… Dois-je chercher à réparer ? Au contraire : protéger ce qui peut l’être encore. Ce que je ressens aujourd’hui, c’est d’abord un besoin de sens. Un besoin de reconstruire, lentement peut-être. Un besoin de réintroduire le bon mot au bon endroit, pour essayer de ne pas tout perdre. Dans une situation où se croisent sentiments, liens du sang et responsabilités, aucune solution parfaite n’existe. Sont seuls là les choix, avec leur cortège d’effets. Et parfois, un tiers est nécessaire pour nous aider à faire un pas vers la vérité. Alors réponds-moi : si tu étais moi, que ferais-tu ? Comment parviendrais-tu à concilier loyauté, vérité, amour ?

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