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Mardi, 24 Juin 2025 à 2:13

Je Ne Ressens Plus Aucun Désir Pour Mon/Ma Conjoint(e), Absence Du Désir Sexuel

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Trouble Du Désir Sexuelle Chez Ma Femme: Qu'Est-Ce Que C'Est? / Séparation Avec Son Conjoint: Comment Se Retrouver Sur Le Plan Sexuel? / Comment Identifier Les Signes d'Un Comportement Sexuel Déviant? (2)

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DavidLover DavidLover Mis à jour le 9 juin 2022 à 12:57

En matière sentimentale, un homme ou un femme, peut-il/elle faire 7 ans sans penser ni avoir des rapports sexuels?

(Commenter) (Signaler) · Publié le 11 août 2015 à 0:56

Selvashimuna Selvashimuna Publié le 12 août 2015 à 15:52

chez la femme ça peut aller, pas du tout mais l'homme normal c'est impossible.

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Massaoud Massaoud Publié le 14 août 2015 à 3:27

meme l'hommes pas imposibil

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RomeoIvoire RomeoIvoire Mis à jour le 7 juin à 8:21

Il arrive que tous les couples traversent, au cours de leur relation, une phase de doute, de silence, d’éloignement. J’ai également, dans ma propre histoire, connu des moments de perte du désir sexuel. Ces instants passés m’ont laissé face à moi-même, face à mon partenaire, face à une intimité qui me semblait nous avoir abandonnés, sans qu’il soit possible d’en comprendre la raison. J’étais assailli par un sentiment de solitude, d’incompréhension, qui me collait à la peau. Mais ces moments furent également l’occasion de questionner notre lien, de réapprendre à écouter, à sentir.

Derrière le silence : les origines multiples du désintérêt sexuel


Quand on parle de baisse du désir amoureux, on pense le plus souvent à un manque d’envie c’est-à-dire à un simple manque d’espoir. Or, il s’agit souvent d’une alerte, un appel, un langage d’un corps et d’une tête qui ne parviennent plus à être entendus. La distance est ainsi générée par des conflits refoulés, un stress ambiant trop pesant, une fatigue continuelle ou même une santé accidentée.

Parfois, la dépression, d’autres troubles d’humeur freinent toute pulsion. D’autres fois, ce sont des modifications hormonales naturelles à certains âges ou faisant suite à des traitements médicaux qui déplacent la dynamique.

Ajoutons à ce tableau les représentations sociales, souvent loin de la réalité, qui nous poussent à penser que le désir serait constant, intense, permanent. Face à ces stéréotypes, certains couples se sentent coupables alors qu’ils découvrent que la défaillance de l’élan les « rendrait » moins « normaux ».

Lire aussi : Je ne désire plus ma femme / mon mari, mais je l’aime toujours

Créer à nouveau : l’intimité sous d’autres formes


On relie souvent intimité et sexualité à la seule chose sexuelle. Mais l’intimité est bien d’une toute autre “nature”. Un regard appuyé, un geste tendre, une explosion de rire cuisinant, une conversation nocturne sont autant de moyens d’entretenir cette proximité.

Dans les périodes de désinvestissement du désir, réinventer les moments de tendresse peut être salvateur. Démarrer à partir de gestes simples, de contacts non « contraints » par la performance ou la nécessité d’obtenir quelque chose.

Cela peut passer par le fait d’explorer, non pour « faire repartir la machine« mais pour retrouver l’autre, se retrouver soi-même, prendre le temps d’explorer ensemble. Il peut être tentant pour des couples d’expérimenter de nouveaux points d’accroche, peut-être de lire des ouvrages ensemble, d’effectuer des pratiques différentes. L’enjeu n’est pas la nouveauté pour sa propre fin, mais la volonté d’une exploration commune vers un autre horizon.


https://www.youtube.com/watch?v=Xf9eMYJ4Eac

Un parcours partagé, pas une course individuelle


Retrouver un équilibre dans sa vie sexuelle ne peut se faire que collectivement. Il s’agit d’un projet à être porté ensemble par les deux partenaires. Cela implique alors du temps, et parfois, il peut être souhaitable de se faire aider, que ce soit d’un thérapeute ou d’un médecin. Il peut survenir qu’un des deux partenaires soit plus investi que l’autre. Dans ce cas, il est nécessaire de rester dans une dynamique d’échange, sans reproches ni pression. Il s’agit de procéder selon le bon tempo de chacun. La plupart du temps, c’est en prenant conscience de ce que l’autre vit que la relation retrouve son sens.

Il arrive parfois que ce chemin permet de découvrir d’autres formes de lien. Peut-être moins à fleur de peau, mais plus tendres, plus profonds, plus solides aussi. Il arrive parfois qu’il mette en évidence des incompatibilités profondes. Même dans ce cas, parler est préférable à s’en fuir, car c’est la manière de comprendre, d’apprendre, et parfois de se réinventer.

Et si nous regardions autrement notre rapport au désir ?


Aborder la sexualité est un sujet encore difficile à aborder, même dans un cadre personnel, beaucoup de tabous existent. Mais combien d’individus vivent-ils en silence un déséquilibre qu’ils pensent individuel, alors qu’il est souvent partagé ? Changer notre regard sur ces phases de creux, c’est déjà en donner une autre signification. Et si l’absence de désir n’était qu’un message ? L’appel à se relier, à réévaluer certains rythmes, à être à l’écoute des mots de notre corps et de notre esprit ?

Ce n’est pas un défaut. Ce n’est pas un échec. Ce n’est qu’une phase, parfois immédiate, parfois plus longue, mais qui peut être le tremplin d’une relation plus fine, plus consciente, plus libre aussi. Nous avons tous une histoire d’intime à montrer. Certains parlent facilement, d’autres s’en se taisent. Mais la voie de chacun a droit d’écho, d’écoute.

Et vous, comment avez-vous traversé ou traversez-vous l’absence de désir dans votre relation ?

(Commenter) (Signaler) · Publié le 21 mars 2024 à 18:45

Image de Sexualité. Il arrive que tous les couples traversent, au cours de leur relation, une phase de doute, de silence, d’éloignement. J’ai également, dans ma propre histoire, connu des moments de perte du désir sexuel. Ces instants passés m’ont laissé face à moi-même, face à mon partenaire, face à une intimité qui me semblait nous avoir abandonnés, sans qu’il soit possible d’en comprendre la raison. J’étais assailli par un sentiment de solitude, d’incompréhension, qui me collait à la peau. Mais ces moments furent également l’occasion de questionner notre lien, de réapprendre à écouter, à sentir. Derrière le silence : les origines multiples du désintérêt sexuel Quand on parle de baisse du désir amoureux, on pense le plus souvent à un manque d’envie c’est-à-dire à un simple manque d’espoir. Or, il s’agit souvent d’une alerte, un appel, un langage d’un corps et d’une tête qui ne parviennent plus à être entendus. La distance est ainsi générée par des conflits refoulés, un stress ambiant trop pesant, une fatigue continuelle ou même une santé accidentée. Parfois, la dépression, d’autres troubles d’humeur freinent toute pulsion. D’autres fois, ce sont des modifications hormonales naturelles à certains âges ou faisant suite à des traitements médicaux qui déplacent la dynamique. Ajoutons à ce tableau les représentations sociales, souvent loin de la réalité, qui nous poussent à penser que le désir serait constant, intense, permanent. Face à ces stéréotypes, certains couples se sentent coupables alors qu’ils découvrent que la défaillance de l’élan les « rendrait » moins « normaux ». Lire aussi : Je ne désire plus ma femme / mon mari, mais je l’aime toujours Créer à nouveau : l’intimité sous d’autres formes On relie souvent intimité et sexualité à la seule chose sexuelle. Mais l’intimité est bien d’une toute autre “nature”. Un regard appuyé, un geste tendre, une explosion de rire cuisinant, une conversation nocturne sont autant de moyens d’entretenir cette proximité. Dans les périodes de désinvestissement du désir, réinventer les moments de tendresse peut être salvateur. Démarrer à partir de gestes simples, de contacts non « contraints » par la performance ou la nécessité d’obtenir quelque chose. Cela peut passer par le fait d’explorer, non pour « faire repartir la machine« mais pour retrouver l’autre, se retrouver soi-même, prendre le temps d’explorer ensemble. Il peut être tentant pour des couples d’expérimenter de nouveaux points d’accroche, peut-être de lire des ouvrages ensemble, d’effectuer des pratiques différentes. L’enjeu n’est pas la nouveauté pour sa propre fin, mais la volonté d’une exploration commune vers un autre horizon. Un parcours partagé, pas une course individuelle Retrouver un équilibre dans sa vie sexuelle ne peut se faire que collectivement. Il s’agit d’un projet à être porté ensemble par les deux partenaires. Cela implique alors du temps, et parfois, il peut être souhaitable de se faire aider, que ce soit d’un thérapeute ou d’un médecin. Il peut survenir qu’un des deux partenaires soit plus investi que l’autre. Dans ce cas, il est nécessaire de rester dans une dynamique d’échange, sans reproches ni pression. Il s’agit de procéder selon le bon tempo de chacun. La plupart du temps, c’est en prenant conscience de ce que l’autre vit que la relation retrouve son sens. Il arrive parfois que ce chemin permet de découvrir d’autres formes de lien. Peut-être moins à fleur de peau, mais plus tendres, plus profonds, plus solides aussi. Il arrive parfois qu’il mette en évidence des incompatibilités profondes. Même dans ce cas, parler est préférable à s’en fuir, car c’est la manière de comprendre, d’apprendre, et parfois de se réinventer. Et si nous regardions autrement notre rapport au désir ? Aborder la sexualité est un sujet encore difficile à aborder, même dans un cadre personnel, beaucoup de tabous existent. Mais combien d’individus vivent-ils en silence un déséquilibre qu’ils pensent individuel, alors qu’il est souvent partagé ? Changer notre regard sur ces phases de creux, c’est déjà en donner une autre signification. Et si l’absence de désir n’était qu’un message ? L’appel à se relier, à réévaluer certains rythmes, à être à l’écoute des mots de notre corps et de notre esprit ? Ce n’est pas un défaut. Ce n’est pas un échec. Ce n’est qu’une phase, parfois immédiate, parfois plus longue, mais qui peut être le tremplin d’une relation plus fine, plus consciente, plus libre aussi. Nous avons tous une histoire d’intime à montrer. Certains parlent facilement, d’autres s’en se taisent. Mais la voie de chacun a droit d’écho, d’écoute. Et vous, comment avez-vous traversé ou traversez-vous l’absence de désir dans votre relation ?

Troisième Image de Sexualité. Il arrive que tous les couples traversent, au cours de leur relation, une phase de doute, de silence, d’éloignement. J’ai également, dans ma propre histoire, connu des moments de perte du désir sexuel. Ces instants passés m’ont laissé face à moi-même, face à mon partenaire, face à une intimité qui me semblait nous avoir abandonnés, sans qu’il soit possible d’en comprendre la raison. J’étais assailli par un sentiment de solitude, d’incompréhension, qui me collait à la peau. Mais ces moments furent également l’occasion de questionner notre lien, de réapprendre à écouter, à sentir. Derrière le silence : les origines multiples du désintérêt sexuel Quand on parle de baisse du désir amoureux, on pense le plus souvent à un manque d’envie c’est-à-dire à un simple manque d’espoir. Or, il s’agit souvent d’une alerte, un appel, un langage d’un corps et d’une tête qui ne parviennent plus à être entendus. La distance est ainsi générée par des conflits refoulés, un stress ambiant trop pesant, une fatigue continuelle ou même une santé accidentée. Parfois, la dépression, d’autres troubles d’humeur freinent toute pulsion. D’autres fois, ce sont des modifications hormonales naturelles à certains âges ou faisant suite à des traitements médicaux qui déplacent la dynamique. Ajoutons à ce tableau les représentations sociales, souvent loin de la réalité, qui nous poussent à penser que le désir serait constant, intense, permanent. Face à ces stéréotypes, certains couples se sentent coupables alors qu’ils découvrent que la défaillance de l’élan les « rendrait » moins « normaux ». Lire aussi : Je ne désire plus ma femme / mon mari, mais je l’aime toujours Créer à nouveau : l’intimité sous d’autres formes On relie souvent intimité et sexualité à la seule chose sexuelle. Mais l’intimité est bien d’une toute autre “nature”. Un regard appuyé, un geste tendre, une explosion de rire cuisinant, une conversation nocturne sont autant de moyens d’entretenir cette proximité. Dans les périodes de désinvestissement du désir, réinventer les moments de tendresse peut être salvateur. Démarrer à partir de gestes simples, de contacts non « contraints » par la performance ou la nécessité d’obtenir quelque chose. Cela peut passer par le fait d’explorer, non pour « faire repartir la machine« mais pour retrouver l’autre, se retrouver soi-même, prendre le temps d’explorer ensemble. Il peut être tentant pour des couples d’expérimenter de nouveaux points d’accroche, peut-être de lire des ouvrages ensemble, d’effectuer des pratiques différentes. L’enjeu n’est pas la nouveauté pour sa propre fin, mais la volonté d’une exploration commune vers un autre horizon. Un parcours partagé, pas une course individuelle Retrouver un équilibre dans sa vie sexuelle ne peut se faire que collectivement. Il s’agit d’un projet à être porté ensemble par les deux partenaires. Cela implique alors du temps, et parfois, il peut être souhaitable de se faire aider, que ce soit d’un thérapeute ou d’un médecin. Il peut survenir qu’un des deux partenaires soit plus investi que l’autre. Dans ce cas, il est nécessaire de rester dans une dynamique d’échange, sans reproches ni pression. Il s’agit de procéder selon le bon tempo de chacun. La plupart du temps, c’est en prenant conscience de ce que l’autre vit que la relation retrouve son sens. Il arrive parfois que ce chemin permet de découvrir d’autres formes de lien. Peut-être moins à fleur de peau, mais plus tendres, plus profonds, plus solides aussi. Il arrive parfois qu’il mette en évidence des incompatibilités profondes. Même dans ce cas, parler est préférable à s’en fuir, car c’est la manière de comprendre, d’apprendre, et parfois de se réinventer. Et si nous regardions autrement notre rapport au désir ? Aborder la sexualité est un sujet encore difficile à aborder, même dans un cadre personnel, beaucoup de tabous existent. Mais combien d’individus vivent-ils en silence un déséquilibre qu’ils pensent individuel, alors qu’il est souvent partagé ? Changer notre regard sur ces phases de creux, c’est déjà en donner une autre signification. Et si l’absence de désir n’était qu’un message ? L’appel à se relier, à réévaluer certains rythmes, à être à l’écoute des mots de notre corps et de notre esprit ? Ce n’est pas un défaut. Ce n’est pas un échec. Ce n’est qu’une phase, parfois immédiate, parfois plus longue, mais qui peut être le tremplin d’une relation plus fine, plus consciente, plus libre aussi. Nous avons tous une histoire d’intime à montrer. Certains parlent facilement, d’autres s’en se taisent. Mais la voie de chacun a droit d’écho, d’écoute. Et vous, comment avez-vous traversé ou traversez-vous l’absence de désir dans votre relation ?

Quatrième Image de Sexualité. Il arrive que tous les couples traversent, au cours de leur relation, une phase de doute, de silence, d’éloignement. J’ai également, dans ma propre histoire, connu des moments de perte du désir sexuel. Ces instants passés m’ont laissé face à moi-même, face à mon partenaire, face à une intimité qui me semblait nous avoir abandonnés, sans qu’il soit possible d’en comprendre la raison. J’étais assailli par un sentiment de solitude, d’incompréhension, qui me collait à la peau. Mais ces moments furent également l’occasion de questionner notre lien, de réapprendre à écouter, à sentir. Derrière le silence : les origines multiples du désintérêt sexuel Quand on parle de baisse du désir amoureux, on pense le plus souvent à un manque d’envie c’est-à-dire à un simple manque d’espoir. Or, il s’agit souvent d’une alerte, un appel, un langage d’un corps et d’une tête qui ne parviennent plus à être entendus. La distance est ainsi générée par des conflits refoulés, un stress ambiant trop pesant, une fatigue continuelle ou même une santé accidentée. Parfois, la dépression, d’autres troubles d’humeur freinent toute pulsion. D’autres fois, ce sont des modifications hormonales naturelles à certains âges ou faisant suite à des traitements médicaux qui déplacent la dynamique. Ajoutons à ce tableau les représentations sociales, souvent loin de la réalité, qui nous poussent à penser que le désir serait constant, intense, permanent. Face à ces stéréotypes, certains couples se sentent coupables alors qu’ils découvrent que la défaillance de l’élan les « rendrait » moins « normaux ». Lire aussi : Je ne désire plus ma femme / mon mari, mais je l’aime toujours Créer à nouveau : l’intimité sous d’autres formes On relie souvent intimité et sexualité à la seule chose sexuelle. Mais l’intimité est bien d’une toute autre “nature”. Un regard appuyé, un geste tendre, une explosion de rire cuisinant, une conversation nocturne sont autant de moyens d’entretenir cette proximité. Dans les périodes de désinvestissement du désir, réinventer les moments de tendresse peut être salvateur. Démarrer à partir de gestes simples, de contacts non « contraints » par la performance ou la nécessité d’obtenir quelque chose. Cela peut passer par le fait d’explorer, non pour « faire repartir la machine« mais pour retrouver l’autre, se retrouver soi-même, prendre le temps d’explorer ensemble. Il peut être tentant pour des couples d’expérimenter de nouveaux points d’accroche, peut-être de lire des ouvrages ensemble, d’effectuer des pratiques différentes. L’enjeu n’est pas la nouveauté pour sa propre fin, mais la volonté d’une exploration commune vers un autre horizon. Un parcours partagé, pas une course individuelle Retrouver un équilibre dans sa vie sexuelle ne peut se faire que collectivement. Il s’agit d’un projet à être porté ensemble par les deux partenaires. Cela implique alors du temps, et parfois, il peut être souhaitable de se faire aider, que ce soit d’un thérapeute ou d’un médecin. Il peut survenir qu’un des deux partenaires soit plus investi que l’autre. Dans ce cas, il est nécessaire de rester dans une dynamique d’échange, sans reproches ni pression. Il s’agit de procéder selon le bon tempo de chacun. La plupart du temps, c’est en prenant conscience de ce que l’autre vit que la relation retrouve son sens. Il arrive parfois que ce chemin permet de découvrir d’autres formes de lien. Peut-être moins à fleur de peau, mais plus tendres, plus profonds, plus solides aussi. Il arrive parfois qu’il mette en évidence des incompatibilités profondes. Même dans ce cas, parler est préférable à s’en fuir, car c’est la manière de comprendre, d’apprendre, et parfois de se réinventer. Et si nous regardions autrement notre rapport au désir ? Aborder la sexualité est un sujet encore difficile à aborder, même dans un cadre personnel, beaucoup de tabous existent. Mais combien d’individus vivent-ils en silence un déséquilibre qu’ils pensent individuel, alors qu’il est souvent partagé ? Changer notre regard sur ces phases de creux, c’est déjà en donner une autre signification. Et si l’absence de désir n’était qu’un message ? L’appel à se relier, à réévaluer certains rythmes, à être à l’écoute des mots de notre corps et de notre esprit ? Ce n’est pas un défaut. Ce n’est pas un échec. Ce n’est qu’une phase, parfois immédiate, parfois plus longue, mais qui peut être le tremplin d’une relation plus fine, plus consciente, plus libre aussi. Nous avons tous une histoire d’intime à montrer. Certains parlent facilement, d’autres s’en se taisent. Mais la voie de chacun a droit d’écho, d’écoute. Et vous, comment avez-vous traversé ou traversez-vous l’absence de désir dans votre relation ?

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